Interview franchise Côté Particuliers
« Côté Particuliers repose sur un business model simple et efficace »
Patrick Pithon, Franchisé - le
Après un parcours entrepreneurial assez riche, Patrick Pithon s’est lancé avec sa compagne dans l’immobilier. Ils ont choisi le réseau Côté Particuliers pour ouvrir leur agence à Clermont-Ferrand en févier 2015. Ils en ont depuis ouvert une deuxième. Témoignage.
Mélanie Kessous : Dans quel secteur avez-vous exercé avant de rejoindre le réseau immobilier Côté Particuliers ?
Patrick Pithon : J’ai dirigé ma propre entreprise durant une vingtaine d’années dans le secteur de l’agro distribution. J’ai vendu cette société dans les années 2000 et j’ai rejoint un groupe coopératif en tant que directeur administratif et financier puis j’en ai pris la direction générale deux ans plus tard, une fonction que j’ai exercée jusqu’en 2012. J’ai ensuite souhaité racheté une entreprise mais l’opération ne s’est pas concrétisée. J’ai alors créé ma société de consulting au sein de laquelle j’ai exercé pendant près de trois ans avec des missions de formation et de suivi d’entreprises en restructuration jusqu’à ce que je décide, avec ma compagne, de rejoindre le secteur immobilier.
Pourquoi avez-vous choisi ce domaine qui est assez éloigné de tout ce vous avez connu auparavant ?
Depuis tout jeune, j’ai toujours eu envie d’avoir une activité dans l’immobilier. Mon parcours professionnel a été riche et le temps m’a manqué pour mener ce projet à bien. Là, c’était le moment !
Il existe de nombreux acteurs sur le secteur immobilier. Quels ont été les éléments qui vous ont convaincus de signer avec le réseau Côté Particuliers ?
Au cours de mes recherches, je suis tombé un peu par hasard sur cette enseigne qui mettait en avant des valeurs humaines, de rigueur ou encore de sérieux qui semblaient bien nous correspondre. J’ai ressenti que ce réseau souhaitait faire ce métier différemment avec une touche innovante. Le premier contact a conforté mes premières impressions. J’ai rencontré des associés très complémentaires ayant une forte expertise de leur domaine et j’ai senti qu’ils pourraient m’épauler sur des domaines où je n’avais pas forcément les compétences comme le juridique, la communication, le marketing… Cela se vérifie aujourd’hui puisque je suis très bien assisté sur ces parties.
La formation initiale que vous avez suivie a-t-elle été suffisante pour démarrer votre nouveau métier ?
La formation a été assez longue puisque ma compagne, mes collaborateurs et moi-même avons suivi une formation théorique de 15 jours sur les aspects métier. Elle a été complétée par une présence d’un mois en agence, sur le terrain, pour aborder la partie concrète. A l’issu de ces formations, j’étais armé. Cela ne veut pas dire que j’étais bon dans tous les domaines ! Quand on démarre un métier, c’est en pratiquant que l’on s’aperçoit de ce qu’il reste à améliorer. Il faut du temps et c’est aussi en faisant des erreurs que l’on apprend et que l’on se corrige.
Vous avez ouvert votre agence fin février 2015. Comment a-t-elle démarré ?
J’ai ouvert mon agence avec une collaboratrice. Ma compagne nous a rejoints à l’automne suivant et nous venons de recruter un nouveau collaborateur. Nous avons également ouvert une deuxième agence en mars dernier à Chamalières. Ce n’était pas vraiment prévu mais nous avons saisi l’opportunité de racheter un emplacement.
Notre première agence en termes d’activité est fidèle au prévisionnel et à l’équilibre. La deuxième agence a bien démarré et les premiers retours sont positifs.
Comment vous accompagne le franchiseur au quotidien ?
J’ai un tempérament assez autonome et je ne suis pas très demandeur d’assistance. Ceci étant, quand j’ai besoin de me rassurer sur certains points, je sais que je peux compter sur mon franchiseur. L’immobilier est un métier complexe, réglementé. Je pense qu’il aurait été très difficile pour moi de me lancer seul, sans l’aide d’un réseau. Aujourd’hui, je m’appuie sur une enseigne dont je partage les valeurs. Et je compte sur le réseau pour innover en matière de digital et de services complémentaires qui sont des clés de réussite dans nos activités.
Enfin, je dirais que je suis autonome mais que pouvoir échanger et partager avec mes confrères sur certaines problématiques est très enrichissant. Cela permet d’entreprendre sans être isolé.
Vous exercez depuis 16 mois aux côtés du réseau Côté Particuliers. Avec le recul, quelles sont selon vous les forces de cette enseigne sur son marché ?
Côté Particuliers repose sur un business model simple et efficace. Nous profitons d’une marque qui interpelle les clients tout comme le concept d’honoraires à frais réduits. Enfin, je pense que la manière de travailler du réseau est la bonne.
Quels sont vos éventuels projets ?
J’avais prévu d’avoir deux à trois agences à horizon cinq ans. J’en ai déjà ouvert deux. Je n’ai pas de certitude, je suis à l’écoute du réseau mais je n’ai pas de plan défini.
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