Franchise Les Nouveaux Robinsons
Didier Le Gars, entrepreneur dans l’âme, souhaite créer une entreprise sociale, économiquement viable et centrée sur les besoins des consommateurs et des salariés dans le respect de la personne et de la biosphère. Il opte pour le statut coopératif qui permet la création d’un bien collectif et veille au partage équitable des richesses générées. En 1993, les 300 premiers sociétaires investissent 91 469 € dans le financement d’un premier magasin à Montreuil. Devant le succès [...] Lire plus
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Présentation du réseau Les Nouveaux Robinsons
Didier Le Gars, entrepreneur dans l’âme, souhaite créer une entreprise sociale, économiquement viable et centrée sur les besoins des consommateurs et des salariés dans le respect de la personne et de la biosphère. Il opte pour le statut coopératif qui permet la création d’un bien collectif et veille au partage équitable des richesses générées.
En 1993, les 300 premiers sociétaires investissent 91 469 € dans le financement d’un premier magasin à Montreuil. Devant le succès de cette première opération, deux nouveaux magasins ouvrent leurs portes au cours du second semestre 1996 dans l’ouest parisien, à Neuilly et à Boulogne. Dans un esprit de diversification de l’activité, un espace éco produit s’ouvre à Montreuil en 1999 puis s’agrandit en 2007.
Depuis, plusieurs ouvertures ont eu lieu. La dernière concerne le magasin avenue de Clichy qui a ouvert en février 2017.
Aujourd’hui, la coopérative Les Nouveaux Robinsons compte 20 magasins en nom propre sur Paris et la proche banlieue.
Comment ouvrir un magasin Les Nouveaux Robinsons ?
Profils recherchés
Une politique sociale volontariste
Les Nouveaux Robinson défendent les valeurs de respect de la personne humaine et de la biosphère.
La coopérative a été créée sur la base d’une forte préoccupation sociale. Dès le début, les Nouveaux Robinson ont adopté des principes sociaux qui vont bien au-delà de la convention collective.
L’Assemblée Générale des salariés est l’occasion, outre de se réunir, de donner la possibilité aux salariés qui le souhaitent de mieux comprendre la gestion globale de la coopérative.
Salaires avantageux et accords d’intéressement et de participation
Chacun participe au résultat quelle que soit sa fonction.
L‘intéressement est réparti de manière égalitaire au prorata du temps de travail. La participation, quant à elle, est répartie en fonction du salaire, afin d’offrir une compensation au personnel d’encadrement dont les salaires mensuels sont plutôt bas par rapport au prix du marché.
En effet, l’échelle des salaires est inférieure à 4. Ceci permet de recruter, pour des fonctions qui ne demandent aucune qualification particulière, à un salaire supérieur à celui exigé par la convention collective.
Une organisation du travail décentralisée et responsabilisante
L’ensemble des salariés est convié à se prononcer sur l’organisation de la vie de la coopérative. Ce au travers de plusieurs instances représentatives : le conseil de surveillance, avec un salarié élu et deux désignés par le Comité d’Entreprise, les Assemblées Générales de salariés et le Comité d’Entreprise qui est régulièrement consulté sur les décisions de gestion.
Les équipes bénéficient d’une grande autonomie à la fois sur le choix des fournisseurs et des produits mais aussi sur l’organisation du travail. La coopérative insiste sur la polyvalence et l’autonomie dans le travail.
En revanche, il est attendu des salariés une forte implication dans le travail puisque la richesse créée est largement répartie, un respect sans faille des clients, des fournisseurs et des collègues ; la qualité des relations interpersonnelles constitue un des fondements de la coopérative.
Fin 2019, le Mouvement des Sociétés coopératives dénombre 3 439 coopératives actives sur tout le territoire et 63 000 emplois coopératifs. Le chiffre d’affaires agrégé des Sociétés coopératives s’élève à 5,6 milliards d’euros.
Les supermarchés coopératifs et collaboratifs essaiment dans le pays. Si leur impact économique s’avère encore négligeable, ils représentent un marqueur idéologique très fort, à l’heure où la quête de sens et la remise en cause du système de la grande distribution prennent du poids.
Selon une étude faite par Obsoco, étude 2019, d’un échantillon représentatif de 3 624 personnes interrogées, 1 % des Français fréquentent les épiceries et supermarchés coopératifs et 14 % disent connaître le concept.
Si leur poids économique reste minime, « ils cristallisent les aspirations de consommation du moment. Car ces lieux proposent des produits de qualité à moindre coût et constituent une alternative à l’hyper consommation », synthétise Philippe Moati, professeur d’économie et cofondateur de l’Obsoco.
Chiffre d'affaires (après 2 ans) | 46 000 € |
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Année de création | 2003 |
Année de lancement en réseau | 2010 |
Type de contrat | franchise |
Taille du réseau | 19 implantations |
Apport personnel | 0 € |
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Droit d'entrée | NC |
Investissement global | NC |
Formation et assistance
- OUI
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