Interview franchise Daniel Moquet
« Le réseau Daniel Moquet m’assure 50% de mon travail »
Denis Labruyère, Franchisé - le
C’est lors du salon Top Franchise Méditerranée 2014 que Denis Labruyère a trouvé son franchiseur. Un an après s’être lancé sur le secteur de l’aménagement d’allées avec le réseau Daniel Moquet, il emploie cinq personnes et continue de développer son entreprise. Témoignage d’un entrepreneur heureux.
Mélanie Kessous : Quel a été votre parcours professionnel avant de vous lancer en franchise aux côtés du réseau Daniel Moquet ?
Denis Labruyère : A 22 ans, j’ai créé une boîte de nuit que nous avons gérée, avec mon associé, durant trois ans. J’ai ensuite été recruté par un professionnel de la blanchisserie industrielle qui m’a chargé du lancement d’un réseau de pressings discount. J’ai ensuite débuté mon parcours dans la distribution en rejoignant le groupe Kering, anciennement PPR, pour monter un réseau de produits dérivés de l’art. J’ai ensuite rejoint successivement les enseignes Oxybul, France Loisirs et Kiabi au sein desquelles j’ai exercé à différents postes : responsable merchandising et formation, responsable régional puis directeur régional. Ma dernière expérience m’ayant amené à gérer près de 500 personnes.
Après un tel parcours en entreprise, qu’est-ce qui vous a amené à entreprendre en franchise ?
Ma première expérience professionnelle a été une expérience d’entrepreneur. Et j’ai toujours gardé dans un coin de ma tête le désir de retrouver mon indépendance. J’avais soif d’autonomie. J’ai vécu de très belles années en entreprise mais je ressentais le besoin de me fixer mes propres objectifs et d’être maître de ma propre performance. Par ailleurs, je désirais retrouver un confort de vie. Aujourd’hui, je travaille énormément en tant que franchisé mais je travaille à mon rythme avec mes propres objectifs.
Quand on pense à créer une entreprise, plusieurs choix se présentent. Le premier c’est de créer seul mais cela nécessite d’avoir une idée originale et de fortes capacités d’investissement. Le deuxième c’est de racheter une entreprise. Dans ce cadre-là, je me suis mis en relation avec la CCI pour étudier quelques possibilités qui n’ont pas abouti. La troisième option était de rejoindre un réseau de franchise. Je n’avais pas d’idées originales ou les idées que je pouvais avoir nécessitaient de trop investissements pour pouvoir rester indépendant. La franchise se posait donc comme une bonne alternative.
Comment en êtes-vous venu à choisir le réseau Daniel Moquet ?
J’ai dans un premier temps pensé au secteur des services à la personne mais je me suis vite aperçu que dans ce type d’activité la gestion du personnel supplante la relation client, une composante essentielle de mes activités précédentes et que je souhaitais conserver.
Je suis alors allé au salon Top Franchise Méditerranée en 2014. J’ai étudié plusieurs projets dans les secteurs du travail temporaire, de la chocolaterie et de la décoration. A chaque fois, j’ai analysé l’investissement nécessaire au lancement du projet et le retour sur investissement tout en me demandant si j’aurais la capacité à prendre du plaisir tous les jours avec ces différentes activités. Avec ces critères, aucune de ces trois enseignes ne correspondaient à mes besoins et à mes envies. Sur le salon j’ai également rencontré le réseau Daniel Moquet. J’ai été séduit par le retour sur investissement rapide et la capacité à se sortir un salaire dès la première année. L’investissement était relativement lourd, de l’ordre de 240 000 euros, mais je n’avais pas de fonds de commerce à acheter. L’élément déterminant a été la relation avec le franchiseur. La notoriété ne suffit pas. Il faut que la redevance que l’on verse corresponde à un vrai service. Cela se vérifie chez Daniel Moquet.
Enfin, il était essentiel pour moi, après une carrière professionnelle dans la grande distribution, de pouvoir profiter de ma famille. Avec ma nouvelle activité, je ne travaille pas le dimanche et je peux prendre des vacances plusieurs fois dans l’année dont trois semaines l’été.
Vous exercez votre activité depuis un an. Comment est-ce que ça passe ?
Très bien ! Le réseau Daniel Moquet m’assure 50% de mon travail. Je ne me suis pas trompé d’enseigne ! Le réseau m’apporte un service opérationnel, des prix, des produits exclusifs, un savoir-faire avec des formations et une logistique particulièrement efficace.
J’ai commencé mes chantiers avec six mois d’avance et je n’ai pas perdu cette avance.
Quels conseils donneriez-vous à de futurs franchisés ?
Etre entrepreneur c’est une somme de métiers : il faut être bon vendeur, bon gestionnaire, bon commercial, bon manager, bon comptable… Et même si la franchise est là en soutien, il faut avoir ces compétences. Mon activité nécessite de bonnes capacités de management et de gestion et j’aurais sans doute eu plus de mal à l’exercer sans mon expérience professionnelle passée. Malgré tout, j’ai envie de dire aux futurs franchisés qu’il faut oser et se donner les moyens de son ambition. Je me demande d’ailleurs souvent pourquoi je n’ai pas osé avant !
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