Interview franchise CENTURY 21

Morgan Ducourtieux, dirigeant de l'agence CENTURY 21 Cœur de Provence à Cavaillon (84)

Morgan Ducourtieux, Dirigeant de l'agence CENTURY 21 Cœur de Provence - le

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Dans le monde dynamique de l'immobilier, Morgan Ducourtieux incarne l'exemple parfait de l'ambition et de la résilience. De ses premiers pas en tant que conseiller à l'ouverture de sa propre agence Century 21, son parcours est riche. Lors de nos échanges, Morgan a partagé son expérience unique avec transparence, dévoilant les coulisses de son succès. Il évoque ses débuts, l'accompagnement de la franchise Century 21, ainsi que les défis qu'il a relevés en tant que dirigeant. 


Morgan Ducourtieux : J'ai assisté aux premières conventions, j'ai vibré comme pas possible. J'ai compris la force du groupe et s'est développé en moi l'amour du maillot.

En quelque mots quel est votre parcours ?

Morgan Ducourtieux : J'ai débuté en 2011 en tant que conseiller, je sortais de mes études, j'avais 21 ans. J'ai été coopté et j'ai rejoint une agence, Century 21, en banlieue parisienne. J'y suis resté quatre ans. Ça s'est plutôt bien passé. J'ai appris les fondamentaux. J'ai commencé par un contrat pro au sein du siège. Donc j'étais en alternance pendant huit mois à peu près. C'était top. J'ai appris pas mal de choses. J'ai fait mes armes. Et puis après, j'ai décidé de changer d'agence. Je suis allé dans une agence plus proche de Paris pendant deux ans à peu près. Et après, j'ai quitté la région parisienne pour ouvrir mon agence dans le sud de la France, à Cavaillon.

Pourquoi as-tu décidé de créer ton agence ?

Morgan Ducourtieux : Dans le métier, on est tout le temps confronté à une gestion une émotion importante. Et du coup, au bout d'un moment, j'ai commencé à me dire que j'avais envie de prendre des risques. Donc on a tout plaqué. On a pris le risque de se dire : On va repartir de zéro et on va effectuer ce travail pour nous également, pour nous enrichir nous et puis pour transmettre. J'ai ma notion du métier, j'ai l'envie de le faire et j'ai toujours eu le sentiment que ce que j'avais envie de faire, je pouvais peut-être le faire mieux que mon manager. Donc finalement, je me suis dit : À force de réfléchir comme ça, c'est dommage de se dire ça et autant le faire soi-même.

Quel a été l’accompagnement de Century 21 ?

Morgan Ducourtieux : La franchise m'a énormément accompagné au début. On a eu un consultant, on a eu quelqu'un d'assez ‘puncher’ qui nous a fait prendre conscience qu'à partir du moment où on avait la carte, il fallait foncer. Il nous a fait un suivi presque au début tous les 15 jours, que ça soit physique ou téléphonique. Et tous les mois, on le voyait. Tous les mois, on faisait un suivi sur où est-ce qu'on se situe, est-ce qu'on a eu le nombre d'affaires qu'on voulait, est-ce qu'on est dans les clous, est-ce qu'il faut remobiliser les équipes. On a eu un plan d'action extrêmement détaillé et c'était très opérationnel. Et c'est ce qui nous a permis de faire des super performances la première année. Century 21, c'est une marque extraordinaire. Et en fait, c'est tellement ancré dans la tête des gens qu'une agence Century 21 qui ouvre, c'est très fort. On a eu beaucoup, beaucoup de sollicitations au démarrage et en plus de ça, on avait du répondant avec la franchise. Donc, c'était top.

C’est quoi être dirigeant d’une agence Century 21 ?

Morgan Ducourtieux : Au début, ça n'a pas changé grand-chose. J'ai été conseiller au début. Je ne vais pas se leurrer, j'ai rentré des mandats. Je n'étais pas un patron. J'étais un meneur qu'on a suivi dès le début, mais je n'étais pas un patron. Donc, la chose que j'ai vécue différemment, c'est la prise de risque financière et de regarder son compte bancaire. Parce que là, tu le regardes et tu commences à te dire : Il faut produire. Donc là, il y a une pression qui s'est mise en place qui était décuplée par rapport à ce que j'ai vécu en tant que conseiller. Après, quand on s'est structuré, c'est gérer du social, gérer de l'humain. Et ce n’est pas facile. Parce que les recrutements qu'on fait au début, ce n’est pas les mêmes qu'on fait quand tu es à N+4. Plus le temps passe, plus on intègre, plus on écoute, plus on se forme, plus on met des règles en place. Et c'est là qu'on devient patron.

Que dirais-tu a un conseiller qui a envie de franchir le pas ?

Morgan Ducourtieux : J'ai envie de savoir déjà pourquoi il a très envie, pour savoir si ce sont des bonnes valeurs. On ne peut pas se dire : J'ouvre une agence pour gagner 15 000 balles par mois. Ce n'est pas vrai. On ne les gagne pas au début. Peut-être qu'un jour, on les gagnera. D'ailleurs, je ne les gagne pas. Mais je pense que la première des choses, c'est de se dire : J'ai envie de prendre un risque, j'ai envie de sortir de ma zone de confort. Et la deuxième chose la plus importante, c’est : est-ce que j'aime transmettre ?

Pour toi, que représente Century 21 ?

Morgan Ducourtieux : Je vais essayer d'être succinct. Je vais dire puissance. Je le schématise. Lorsqu'on vit une convention, on se rend compte à quel point la marque est puissante. Quand il y a 4 000 personnes dans la salle qui portent la même veste, je trouve que le mot puissance est important. Et dans puissance, sous-entend également le côté appartenance à la marque, savoir mouiller le maillot ensemble. Moi, je suis sportif et je retrouve toutes ces valeurs-là dans le réseau. Notoriété, mais bon, ça, c'est lambda. Quand ça fait 30 ans que tu existes, je pense que la notoriété, elle est plus à faire. C'est la puissance. Vraiment, c'est la puissance pour moi.

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