Interview franchise Daniel Moquet
« Mes équipes et moi-même faisons notre métier avec passion »
Jules Regaudie, Franchisé à Brive la Gaillarde - le
Franchisé à Brive la Gaillarde au sein du réseau Daniel Moquet, Jules Regaudie revient pour nous sur son parcours précédent et sur la manière dont il envisage son avenir professionnel...
Rodolphe Hatchadourian : Comment se sont passée vos études et votre première partie de carrière ?
Jules Regaudie : A la fin du collège, j’ai opté pour une orientation professionnelle, plus précisément un BEPA Travaux Paysagers, suivi d’un Bac Pro Aménagements Paysagers en formation initiale, que j'ai complété par plusieurs semaines de stages en entreprise durant cinq ans. Puis j'ai poursuivi avec un BTS Aménagements Paysagers, cette fois-ci en alternance dans une entreprise de paysage traditionnelle. A l’issue des deux années de formation, j’ai signé un CDI dans l’entreprise qui m’a formée. Un peu plus d’un an après ma prise de poste, l’envie de découvrir de nouveaux horizons s'est fait sentir et j’ai alors tout quitté pour vivre une expérience à l’étranger. J’ai donc pris mon sac à dos en direction de l’Australie. 6 mois plus tard, je rentré en France avec dans mon sac à dos une nouvelle langue, de magnifiques paysages en tête mais surtout des envies d’entrepreneuriat.
De là a fleuri une réflexion... Comment me lancer à mon compte, quelle est la bonne solution ? Le domaine du paysage classique étant à mon sens un peu concurrentiel, je n’avais pas envie de me greffer à ce que j’appelle la course au vert. Ayant des parents franchisés dans un autre domaine depuis près de 30 ans, j’ai donc toujours baigné dans le commerce en réseau, ce qui m'a incité à faire des démarches auprès de Daniel Moquet.
Comment se sont passés les premiers contacts avec l'enseigne ?
Lors de notre première rencontre, j’ai tout de suite su que c’était le model qui me correspondait. « Compétences, Respect, Plaisir et Simplicité » sont les valeurs du réseau, totalement en adéquations avec les miennes. Ensuit, je n’avais plus qu’à croiser les doigts pour que mon profil corresponde à l’ADN et que Daniel et Pauline, les dirigeants, croient en moi.
Comment avez-vous été formé à ce métier que vous ne connaissiez pas ?
A la veille de mes 25 ans, en septembre 2015, j'ai démarré alors la formation au siège, à Parignée. Qui mieux que les fondateurs pouvaient transmettre leur savoir : Daniel, Pauline et Camille Moquet nous forment eux-mêmes à tout les aspects : recrutement, produits de la gamme, gestion d’entreprise… Durant les différentes phases, j'ai pu rencontrer les différents partenaires, le cabinet comptable, les fournisseurs, l'agence de communication…
Le programme est tellement bien rodé et malgré la quantité d’informations et l’importance de chacun des modules, rien n’est laissé au hasard. Je dis souvent que le franchiseur nous livre une caisse à outils avec une notice bien détaillée, à nous par la suite de mettre en application chacune des étapes.
Qu'en est-il du démarrage effectif ?
Lors du démarrage de la phase de commercialisation, environs 6 mois avant le jour J, j’ai eu l’appui d’un animateur réseau. Cela permet de faire le lien entre le franchisé et le franchiseur. A chacune de mes interrogations, un appel, un mail et même une visite sur place m'ont permis de me sentir accompagné de bout en bout.
Quand arrive le fameux jour J, c’est à dire le premier démarrage de chantier, j’ai bénéficié une nouvelle fois de l’accompagnement du réseau, cette fois-ci pour la partie technique. Dans ces moments cruciaux, j’ai été assisté plusieurs fois par un technicien qui m'a apporté un appui et qui a conseillé mes poseurs. Ceux-ci étaient certes du métier mais pas forcément rodés aux techniques et aux produits propres au réseau Daniel Moquet.
Comment se passe votre activité au jour le jour ?
Aujourd’hui, je gère une équipe de 6 poseurs et les journées sont maintenant bien rythmées. Ainsi, le matin, briefing avec l’ensemble de l’équipe : on fait le point sur les chantiers en cours, les interrogations de chacun. Ensuite, je fais un peu d’administratif, devis, factures, commandes… dans la mesure du possible je fais le tour des chantiers.
A 10h, je cale un premier rendez-vous avec un client et je lui fais une propositions technique et établis un devis. En règle générale, la matinée se termine par des visites de chantier en cours ou en cours de finalisation.
Après la pause déjeuner vient le moment de la petite sieste obligatoire, puis l’après-midi continue par d'autres visites auprès de clients. Plus tard, je réunis mes équipes afin d’anticiper la journée du lendemain, car il faut anticiper la répartition du matériel et des moyens humains pour que les journées soient le plus efficaces possible.
En fin de journée, j’ai hâte de retrouver ma femme et ma fille qui me permettent de déconnecter. Ma famille est très conciliante et cela m'aide à trouver le bon équilibre entre vie de famille et vie professionnelle.
Comment avez-vous été impacté par le coronavirus ?
La crise sanitaire à surtout eu un impact sur les rendez-vous commerciaux. Nous avons eu une période de mise en pause des visites de clients, puis à la reprise, nous avons mis en place des mesures de distanciation. Mais malgré tout, je parviens à conserver une certaine proximité avec eux, ce qui est indispensable quand on travaille avec les particuliers. Sur les chantiers, le respect des mesures sanitaires n'est pas toujours simple à respecter mais les équipes font tout pour concilier sécurité et efficacité.
Vous êtes sur le point d'accroître votre zone d'intervention ?
En effet... depuis la création de l’agence, je savais qu’une zone voisine de la mienne était libre, et après 18 mois d’activité, j’ai demandé à Pauline Moquet de me réserver la zone. En réalité, le plus compliqué a été de trouver le bon candidat, mais c'est chose faite aujourd'hui. J’ai toujours eu à cœur de transmettre ma passion pour mon métier, que ce soit avec les apprentis ou même avec chacun de mes poseurs. Ainsi, j’ai toujours eu en tête d’ouvrir cette deuxième agence et je suis ravi d'avoir mené ce projet à terme en compagnie de Rémi Bergeal, qui couvre à mes côté les secteur de Tulle-Egletons. Après avoir passé de quelques semaines avec mes équipes de pose, Rémi est maintenant dans le grand bain : il termine dans quelques jour la formation Daniel Moquet tout en continuant la phase de commercialisation et prépare le démarrage de ses chantier prévu en juin 2021.
Un dernier mot peut-être ?
Mes équipes et moi-même faisons notre métier avec passion, et chaque jour, je me lève avec la même envie et l’amour du métier. L’accompagnement du franchiseur procure un confort et une assurance, pour nous mais aussi pour nos clients. Travailler avec l’image de marque de Daniel Moquet, c'est une force.
Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian
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