Interview franchise PROCOMM
« L’image de marque de Procomm est très qualitative : nous sommes perçus comme étant de bons professionnels »
Arnaud Allenet, Adhérent Procomm - le
Après un parcours professionnel varié, Arnaud Allenet a travaillé douze années sous enseigne ORPI, où il a monté, avec des associés, un réseau de cinq agences spécialisées dans l’immobilier résidentiel sur l’Est parisien. C’est lors de cette expérience qu’il a rencontré Jean-Jacques Cohen, fondateur de Procomm. Avant de rejoindre ce réseau en septembre 2008. Il en est aujourd'hui adhérent et Vice-Président.
Mélanie Kessous : Vous avez eu une carrière professionnelle riche et variée avant de rejoindre le Procomm. Qu’est-ce qui vous a donné envie d’intégrer cette enseigne dédiée à l’immobilier de commerce ?
Arnaud Allenet : Quand j’étais adhérent ORPI, j’ai eu l’occasion de travailler avec Jean-Jacques Cohen, qui exerçait lui aussi chez ORPI à l’époque avant qu’il ne fonde Procomm. Quand il a créé sa structure, j’ai pensé à ouvrir un département immobilier de commerce Procomm, dans mon agence ORPI. J’ai finalement quitté le réseau ORPI suite à des divergences avec mes associés et monté ma structure sous enseigne Procomm.
Quelles sont les différences entre l’immobilier résidentiel et l’immobilier de commerce ?
En résidentiel, les ventes sont relativement faciles puisqu’on contribue à la réalisation d’un projet de vie, avec un niveau de technicité et d’expertise, peu élevé. Dans l’immobilier professionnel, nous nous adressons à des professionnels, ce qui réclame beaucoup plus d’expertise. Nous travaillons à la cession de commerces très variés, avec des évaluations très différentes d’un commerce à l’autre suivant l’activité, l’emplacement… Dans ce domaine, les entrepreneurs ne réalisent pas un rêve, mais un projet financier avec des montants qui peuvent être très élevés où la notion de risques est bien présente. Le rôle de conseil et d’accompagnement s’avère primordial. Par ailleurs, le démarrage d’un cabinet dans l’immobilier de commerce est long, car il faut dans un premier temps constituer un portefeuille de biens qualifié. Il faut donc entre 12 et 18 mois pour asseoir l’activité et constituer un portefeuille au bon prix et qui correspondent à la demande.
En 2005, j’ai obtenu un DESS de droit immobilier pour parfaire mes connaissances dans le métier et pour renforcer mon expertise. Actuellement, je valide une certification RICS pour pouvoir travailler à l’international.
Vous avez désormais une grande et longue expérience, comment se porte votre activité aujourd’hui ?
Mon activité a rapidement décollé dès son démarrage. J’avais une expérience de l’immobilier résidentiel et des réflexes commerciaux bien établis. Pour autant, j’ai mis six mois pour bien comprendre les tenants et les aboutissants du métier, puis six autres mois pour constituer un portefeuille complet. Aujourd’hui, je suis très satisfait de mon activité, même si ce métier demeure complexe, et nécessite d’être en éveil permanent. Au sein de l’agence, nous avons mis en place une veille stratégique pour anticiper les tendances du marché. Depuis 18 mois, cela nous a amené, par exemple, à développer les ventes et locations de bureaux. Dans notre métier, rien n’est jamais acquis.
Quels sont les atouts de l’enseigne Procomm et quel est le rôle du franchiseur dans toute cette aventure entrepreneuriale ?
L’atout principal du réseau est d’être une enseigne nationale, qui ne se concentre pas uniquement sur le marché francilien. Cette représentation nationale nous permet de traiter des contrats cadres avec de grosses enseignes sur tout le territoire. Par ailleurs, l’image de marque et la notoriété du réseau nous permet de rassurer nos interlocuteurs.
Le franchiseur nous a énormément aidé au démarrage ce qui m’a permis de me perfectionner dans tout ce qui était technique. J’ai pu m’appuyer sur l’expertise et l’expérience des autres membres mais aussi de la tête de réseau. Aujourd’hui, c’est à mon tour d’aider les autres nouveaux franchisés via une hotline mise en place au sein de Procomm. Et via le GIE, je trouve aussi un intérêt financier à faire partie d’un réseau. Enfin, je continue d’avancer avec d’autres membres du réseau pour monter des projets divers. Mon adhésion à l’enseigne reste donc toujours productive.
Quels sont vos projets désormais ?
En tant que Vice-Président de Procomm, je tiens à promouvoir le Club Bureau qui va permettre de contribuer au développement du réseau. C’est une orientation qui va permettre d’augmenter le chiffre d’affaires de nos agences et de les rendre plus rentables. Une fois que ce projet sera arrivé à maturité, le groupe Procomm accentuera ses efforts sur d’autres pans de l’immobilier d’entreprise. Enfin, je tiens à rappeler que l’avenir de l’immobilier de commerce reste l’expertise. Il faut donc sans cesse renforcer nos compétences par de la formation afin de tirer le réseau vers le haut. L’image de marque de l’enseigne est très qualitative : nous sommes perçus comme étant de bons professionnels. Nous devons consolider nos acquis, ce que nous faisons avec des formations permanentes.
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