Interview franchise Le Torchon à Carreaux
Entretien avec Jean-Pierre Martin
Jean-Pierre Martin, - le
Samuel Burner : Comment Le Torchon à Carreaux s’est-il comporté en 2007 ? Quel a été son rythme de développement ?
Jean-Pierre Martin, : Depuis le début de l’année, nous avons procédé à une quinzaine d’ouvertures en franchise. Ces trois derniers mois, elles ont eu lieu en septembre à Genève, Beauvais et Toulouse; en octobre au Havre et Mâcon; et en novembre à Châteauroux et Limoges. Nous avons également inauguré une nouvelle succursale le 20 novembre dernier à Ormesson-sur-Marne, ce qui a représenté notre dernière création de l’année.
Car le mois de décembre est davantage propice aux affaires qu’aux ouvertures. C’est en effet un mois très important pour notre activité. Il faut avoir à l’esprit qu’entre novembre et décembre, nos boutiques réalisent près d’un tiers de leur chiffre d’affaires annuel.
Depuis le rachat de l’enseigne en 2003, quels ont été vos chantiers prioritaires ?
Dans un premier temps, il a fallu remettre à plat le concept et rajeunir un peu l’image de l’enseigne, jugée un peu désuète. Les équipes ont repensé le logo et travaillé sur le nouvel aménagement intérieur des boutiques. Ce nouvel agencement s’est progressivement mis en place à partir des années 2004-2005.
Le développement en franchise du réseau est-il redevenu la priorité numéro un ? Quels sont vos projets d’expansion pour l’année 2008 ?
Pour l’année 2008, nous avons déjà six contrats de signés avec des recherches de locaux déjà bien avancés. Notre ambition est de tenir le même rythme d’ouvertures, soit une quinzaine d’inaugurations, avec un développement en franchise qui restera un axe majeur de notre stratégie. Notre objectif est de procéder à 10 ouvertures nettes car il faut tenir compte des sorties de réseaux consécutives aux départs en retraite. En 2007, nous avons enregistré 4 sorties de réseaux. Ce chiffre devrait sensiblement être le même en 2008.
Quelles sont vos cibles prioritaires en termes d’implantation ? Allez-vous accroître votre présence dans les centres commerciaux à l’image de certains de vos concurrents ?
Ces dernières années nous avons ciblé beaucoup de villes de taille moyenne et nous allons continuer dans cette voie. Le Torchon à Carreauxdoit également se renforcer dans les plus grandes métropoles comme à Marseille ou Nice (où nous avons qu’une boutique), à Perpignan, Lyon (une seule unité). Et même dans des villes comme Bordeaux, où nous comptons déjà trois points de vente, il y a encore de la place pour en implanter d’autres.
Quelles sont les conditions pour devenir franchisé Torchon à Carreaux ? Quel est le chiffre d’affaires moyen d’un magasin ?
En 2006, le chiffre d’affaires moyen du réseau a avoisiné les 450 000 euros. Cette année, il devrait être légèrement inférieur du fait des nombreuses ouvertures.
Vous approchez des 50 magasins en France. A combien y estimez-vous le potentiel de l’enseigne ? Avez-vous des projets à l’international ?
Le Torchon a Carreaux dispose aujourd’hui de trois boutiques à l’étranger, respectivement en Suisse, Italie et en Angleterre. Le développement à l’export n’est pas aujourd’hui une priorité. Mais dans quelques années, pourquoi pas !
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