Interview franchise X'PERT IMPACT
Julien Serrano - X'PERT IMPACT : ""Avec X’PERT IMPACT, on n’est jamais seul"
Julien Serrano, Franchisé secteur Pau - le
Après dix ans comme contrôleur technique automobile, Julien Serrano a ressenti le besoin de changer de cap, d’apprendre un métier manuel et de se lancer dans une nouvelle aventure. Attiré depuis longtemps par le débosselage sans peinture, il a choisi X’PERT IMPACT pour la qualité de son accompagnement et l’esprit de solidarité qui anime le réseau. Pour lui, intégrer une franchise, c’était l’assurance de ne pas être livré à lui-même, mais au contraire de pouvoir compter sur un véritable soutien au quotidien. Il revient sur son parcours et les raisons qui l’ont poussé à rejoindre l’aventure X’PERT IMPACT.
La rédaction : Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre le réseau ?
Julien Serrano : J’ai travaillé pendant 10 ans en tant que contrôleur technique automobile. Et puis, un jour, j’ai eu un gros ras-le-bol. J’avais envie de changer, de faire quelque chose de nouveau, d’apprendre un vrai métier manuel. Le débosselage, c’est un métier qui me tentait depuis longtemps. J’ai fini par sauter le pas.

Pourquoi avez-vous décidé de créer votre propre entreprise ?
Le fait d’être son propre patron, c’est un vrai avantage. Tu gères ton emploi du temps comme tu veux, tu n’as de comptes à rendre à personne, tu ne demandes pas d’augmentation, tu choisis ta direction. C’est une liberté totale, et ça, ça n’a pas de prix.
Pourquoi avoir choisi ce réseau ?
J’ai choisi X’PERT IMPACT parce qu’ils offrent un vrai soutien. Tu n’es jamais seul. Peu importe la question, la difficulté ou le moment, il y a toujours quelqu’un pour t’aider. Et ça, quand tu débutes à la fois dans le métier de débosseleur et dans la gestion d’une entreprise, c’est un sacré plus. Franchement, je préfère largement ça que de me lancer seul et de galérer. Je sais que si j’ai un souci, j’ai une équipe derrière moi.
Ce qui m’a séduit dans le concept, c’est aussi le côté jeune et familial de la franchise. Ce n’est pas un réseau où tu paies et on t’oublie. Ici, on te suit, on t’accompagne, on est là pour toi. Et c’est exactement ce que je recherchais.
Quelle a été votre démarche pour rejoindre le réseau ?
C’est en cherchant sur internet que je suis tombé sur X’PERT IMPACT. Je cherchais une formation pour devenir débosseleur et j’ai vu qu’ils formaient des nouveaux franchisés. J’ai appelé, et j’ai eu Xavier Blanchard au téléphone. Il a su me convaincre tout de suite.
On s’est rapidement rencontrés, j’ai eu un rendez-vous, je suis allé me présenter, on a discuté ensemble... et j’ai signé. C’était simple, fluide, naturel.
En ce qui concerne les recherches, je n’ai pas fait d’étude de marché poussée. J’ai échangé avec quelques débosseleurs qui m’ont dit que c’était un métier d’avenir, qu’il y avait du travail, et que ce n’était pas prêt de s’arrêter. J’ai foncé, un peu tête baissée, mais avec une vraie envie.
Comment avez-vous été accompagné dans votre lancement ?
Avant même l’ouverture, j’ai été très bien entouré. Teddy, un des commerciaux de X’PERT IMPACT, était là au début — Louis n’était pas encore là à l’époque. Et Teddy a vraiment bien bossé sur mon secteur. Il m’avait déjà décroché des rendez-vous alors que je n’avais même pas encore commencé !
Ensuite, Anthony est venu me voir peu de temps après pour m’accompagner sur le terrain, voir comment je me débrouillais, s’assurer que tout se passait bien. Ce suivi dès le départ est super important, et je l’ai vraiment ressenti.
Et puis après, les commerciaux ont continué à prospecter pour moi. La prospection, c’est chronophage, et là, ils m’ont fait gagner un temps énorme. Grâce à eux, j’ai rapidement eu du travail.
Quelles difficultés avez-vous rencontrées ?
Franchement, je n’ai rencontré quasiment aucune difficulté. Tout a été bien préparé, bien anticipé, bien cadré. Tout s’est déroulé naturellement, et ça, c’est grâce à la structure de la franchise.
Quel rôle occupe le franchiseur aujourd’hui à vos côtés ?
Le franchiseur est toujours présent. Si j’ai une question technique sur une réparation, je peux appeler le formateur directement, il me répond dans la foulée. Si j’ai besoin d’un coup de main côté administratif, pareil, j’appelle et j’ai une réponse dans la journée, parfois même dans l’heure.
C’est un vrai accompagnement, un soutien concret au quotidien.
Comment se porte votre activité aujourd’hui ?
Je suis encore en phase de lancement, mais j’ai du travail tous les jours. Et je suis convaincu qu’avec le temps, les clients vont continuer à arriver naturellement. Le bouche-à-oreille commence à se mettre en place.
Quels sont, selon vous, les grands avantages et contraintes du métier ?
Honnêtement, je ne vois pas beaucoup de contraintes. Les avantages, eux, sont évidents : tu es autonome, tu te gères seul, tu organises ta journée comme tu veux. Et surtout, moi, le débosselage, ça me passionne. Alors même quand il y a des galères, je les prends bien. C’est un métier sympa, valorisant, stimulant.
Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui veut rejoindre le réseau ?
Qu’il peut y aller les yeux fermés. L’accompagnement est là du début à la fin : création d’entreprise, formation, lancement, suivi… tout est pensé pour que le franchisé soit dans les meilleures conditions possibles pour commencer. Tu es vraiment pris en main.
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