Daniel Moquet a fêté les 10 ans de son premier franchisé
En cette année 2016, Jean-Marc Janvier, qui exploite une franchise Daniel Moquet à proximité de Nantes en Loire Atlantique, fête ses dix ans d'activité au sein du réseau spécialisé dans l'aménagement et la création d'allées. A cette occasion, l'enseigne a recueilli son témoignage, à propos de son expérience et de ses rapports avec le franchiseur.
C’est en mars 2006 que l’aventure de Jean-Marc Janvier a débuté, et il a souhaité se servir de cette date importante pour communiquer au sein de son agence, ce qui lui a permis de signer plus de contrats, grâce à la hausse du nombre de clients et de prospects que cela a entraîné.
Lorsqu'on lui demande pour quelle raison il a souhaité intégrer l'enseigne Daniel Moquet, qui à l’époque ne comptait que deux franchisés, il se souvient dans un sourire : « Je me souviens très bien de ce qui m’a fait prendre ma décision d'entrer dans ce réseau. Après ma rencontre avec Daniel, il m’a dit de passer voir sa fille Pauline qui gérait l’entreprise de Château-Gontier, et c’est ce qui m’a convaincu, je me suis dit, si elle peut faire un million de chiffre d’affaires à 21 ans, je peux faire le double ! Au début, on était dans un hangar, dans la brousse, puis l’entreprise a évolué rapidement, on est passé à 5 gars en 3 ans, maintenant, on a pignon sur rue, avec un beau show-room ».
En 2014, Jean-Marc Janvier a souhaité gérer une seconde agence couvrant une zone voisine, en appliquant le modèle mis au point par Daniel Moquet, c'est à dire qu'il a confié cette unité à un gérant, et lui a permis de racheter l'agence au bout de deux ans, une fois la réussite au rendez-vous. « Cela a très bien fonctionné puisqu’il a pu la racheter en moins de deux ans, je suis plutôt fier de sa réussite » déclare Jean-Marc.
Au moment où on évoque son avenir, Jean-Marc Janvier répond qu'à l'âge de 54 ans, il ne souhaite pas étendre son enseigne mais plutôt oeuvrer pour sa pérennité, afin de se garantir une bonne retraite : « Mon objectif maintenant, c’est de travailler moins. Je souhaite mettre en place un commercial pour déléguer cette partie, et ne plus être indispensable à l’entreprise en cas de revente, c’est quelque chose qui se prépare à long terme. Mais pour l’instant, je n’en suis pas encore là, je suis même partant pour prolonger une nouvelle fois mon contrat de franchise » conclut-il.
Rodolphe Hatchadourian