Premier trimestre difficile pour le commerce spécialisé
En mars 2009, les boutiques de centre-ville et centre commercial ont enregistré une baisse de 3,5 % de leur chiffre d’affaires, tandis que les moyennes surfaces de périphérie accusent une chute de - 4,7 %, à périmètre comparable. Rappelons que mars 2008 avait déjà été diffi cile (- 3,2 % pour les boutiques, - 1,3 % pour les moyennes surfaces).
La période a été marquée de forts effets calendaires : mars 2009 compte un jour ouvré de plus que mars 2008 mais un samedi de moins... Par ailleurs le décalage des fêtes de Pâques au mois d’avril (en mars l’année dernière) a également impacté la consommation de certains secteurs comme l’alimentaire spécialisé.
Une fois n’est pas coutume, l’équipement de la personne a plutôt résisté et devrait enregistrer une petite croissance, grâce aux performances de la chaussure. Le beau temps et les « soldes fl ottantes » ont sans doute favorisé la vente des collections printemps/été. Toutefois les résultats sont extrêmement contrastés d’une enseigne à l’autre avec des
amplitudes d’évolution pouvant aller jusqu’à + 15 %/- 15 %.
« L’effet printemps » a également été bénéfique pour les enseignes de santé/beauté. En revanche, l’équipement de la maison et les loisirs ont été particulièrement pénalisés.
Au cumul, le 1er trimestre 2009 se solde par une baisse de - 3,1 % pour les boutiques, une baisse qui se creuse encore d’avantage pour les moyennes surfaces à - 4,4 %.
Un 1er trimestre très diffi cile donc, avec une consommation qui ne semble réagir qu’aux politiques commerciales très agressives, ce qui pénalise et fragilise fortement les entreprises du commerce dont les marges sont affectées.
La période a été marquée de forts effets calendaires : mars 2009 compte un jour ouvré de plus que mars 2008 mais un samedi de moins... Par ailleurs le décalage des fêtes de Pâques au mois d’avril (en mars l’année dernière) a également impacté la consommation de certains secteurs comme l’alimentaire spécialisé.
Une fois n’est pas coutume, l’équipement de la personne a plutôt résisté et devrait enregistrer une petite croissance, grâce aux performances de la chaussure. Le beau temps et les « soldes fl ottantes » ont sans doute favorisé la vente des collections printemps/été. Toutefois les résultats sont extrêmement contrastés d’une enseigne à l’autre avec des
amplitudes d’évolution pouvant aller jusqu’à + 15 %/- 15 %.
« L’effet printemps » a également été bénéfique pour les enseignes de santé/beauté. En revanche, l’équipement de la maison et les loisirs ont été particulièrement pénalisés.
Au cumul, le 1er trimestre 2009 se solde par une baisse de - 3,1 % pour les boutiques, une baisse qui se creuse encore d’avantage pour les moyennes surfaces à - 4,4 %.
Un 1er trimestre très diffi cile donc, avec une consommation qui ne semble réagir qu’aux politiques commerciales très agressives, ce qui pénalise et fragilise fortement les entreprises du commerce dont les marges sont affectées.