AUTOSMART - Theo Jacky : "j'avais un vrai besoin d’être indépendant"

Théo Jacky, aujourd'hui franchisé chez Auto Smart, a débuté sa carrière comme mécanicien auto avant de se tourner vers le secteur commercial, puis la maintenance industrielle. Sa volonté d'indépendance et son goût pour la prise de décision l'ont finalement conduit vers la franchise et plus particulièrement, vers Auto Smart.

Découvrez comment ce passionné de l'automobile a trouvé sa voie et les raisons qui l'ont poussé à s'investir dans cette aventure entrepreneuriale.

Observatoire de la franchise : Quel est votre parcours ?
Theo Jacky : Je suis Théo. Mon métier de départ est mécanicien auto. J'ai travaillé une dizaine d'années. J'ai migré vers le commercial durant deux ans. Je me suis retourné vers la maintenance industrielle. Et puis, j'avais un vrai besoin d’être indépendant. Je suis un décideur et c'est ce qui m'a dirigé vers Autosmart et vers la franchise.

Observatoire de la franchise : Pourquoi la franchise ?

Theo Jacky : J'avais besoin de prendre mes décisions et de pouvoir avancer moi-même, de pouvoir me stimuler. C'est un vrai moteur. Après, pourquoi Autosmart ? Parce que ça touchait l'automobile, parce que ce sont des produits d'entretien pour l'automobile et je connais un petit peu le milieu de l'auto. Donc, ça me concernait Auto Smart et j'avais vraiment cette idée, cette volonté de développer ma clientèle et de la suivre de manière précise comme j'aime le faire.

Observatoire de la franchise : Avez-vous été bien accompagné ?

Theo Jacky : Autosmart nous assure un suivi et ça, c'est intéressant et important, surtout quand on démarre dans un secteur que je ne connaissais pas. Donc déjà, il y a une formation, d'abord sur les produits, un petit peu commercial aussi, savoir comment aborder des personnes et ensuite sur le terrain. Ça fait 24 ans résolu que je suis chez Autosmart. J'ai démarré en janvier 2000. Si je suis aussi longtemps, c'est que ça me plait. Et j'ai mis ma fille, une de mes filles que j'ai intégré dans l'affaire. Ça fait 10 ans qu'elle travaille avec moi et la probabilité qu'elle reprenne l'affaire peut-être même cette année.

Observatoire de la franchise : Et si c’était à refaire ?

Theo Jacky : Je vous repose la question autrement : si je mets ma fille, ma propre fille, est-ce que vous pensez que je ne serais pas confiant dans l'entreprise ? Je ne transmettrais pas une entreprise dans laquelle je n'aurais pas confiance à mon enfant.