Franchise ERA Immobilier : la crise, un non-événement
ERA Immobilier considère le coup d’arrêt actuel du marché comme un « non événement », le ralentissement de la demande correspondant à une fin de cycle.
« Nous vivons une situation de déjà vu », confirme Jean Lavaupot, « tout comme l’était le coup d’arrêt de 1990 (1ère guerre du Golfe) qui mit fin à l’envolée des prix des années « Méhaignerie » (1985-1990). Ce fut le cas également lors de la loi Quillot (l’après 81) qui fit fuir les investisseurs immobiliers par les contraintes imposées pour la mise en location des logements ».
Chaque fin de cycle entraîne une rupture avec la dynamique de plus value dans laquelle le vendeur d’un bien est installé alors que la demande se stabilise.
« Elle se stabilise mais ne baisse pas ! » martèle Jean Lavaupot, Directeur Exécutif des 400 agences ERA Immobilier.
« La logique haussière des 10 dernières années a créé de mauvaises habitudes chez certains professionnels pour qui le service présente des déficiences et génère des frustrations chez les particuliers. Ainsi, dans les agences, les stocks de mandats se « regarnissent », et les acquéreurs négocient : rien que de très normal dans tout cela ».
Cette situation risque de générer un arbitrage dans la profession. En deux mots, certains agents transactionnaires pourraient être contraints de mettre la clé sous la porte, ainsi les agences en réseau devraient une fois de plus marquer leur différence.
« Les bons professionnels sauront tirer parti de cette nouvelle situation car les ventes immobilières, elles, ne sont pas prêtes de s’arrêter…. », conclut Jean Lavaupot.
« Nous vivons une situation de déjà vu », confirme Jean Lavaupot, « tout comme l’était le coup d’arrêt de 1990 (1ère guerre du Golfe) qui mit fin à l’envolée des prix des années « Méhaignerie » (1985-1990). Ce fut le cas également lors de la loi Quillot (l’après 81) qui fit fuir les investisseurs immobiliers par les contraintes imposées pour la mise en location des logements ».
Chaque fin de cycle entraîne une rupture avec la dynamique de plus value dans laquelle le vendeur d’un bien est installé alors que la demande se stabilise.
« Elle se stabilise mais ne baisse pas ! » martèle Jean Lavaupot, Directeur Exécutif des 400 agences ERA Immobilier.
« La logique haussière des 10 dernières années a créé de mauvaises habitudes chez certains professionnels pour qui le service présente des déficiences et génère des frustrations chez les particuliers. Ainsi, dans les agences, les stocks de mandats se « regarnissent », et les acquéreurs négocient : rien que de très normal dans tout cela ».
Cette situation risque de générer un arbitrage dans la profession. En deux mots, certains agents transactionnaires pourraient être contraints de mettre la clé sous la porte, ainsi les agences en réseau devraient une fois de plus marquer leur différence.
« Les bons professionnels sauront tirer parti de cette nouvelle situation car les ventes immobilières, elles, ne sont pas prêtes de s’arrêter…. », conclut Jean Lavaupot.