Franchise immoblier : Capifrance, un réseau ouvert à tous
"L'immobilier est un secteur d'activité qui accueille volontiers des actifs avec de l'expérience professionnelle dans un tout autre domaine. Et si les reconversions à succès sont nombreuses chez Capifrance, elles sont simplement le fruit d'un processus de formation complet et performant et d'un accompagnement terrain sans faille", indique le réseau d'agents mandataires en immobilier.
Dans les faits, l'enseigne recense 49% de conseillers immobiliers qui ne sont pas issus du secteur. « Ce chiffre n'est pas un record. Il témoigne simplement que nous savons donner leur chance à des personnes motivées et qui ont l'envie, car nous sommes convaincus que c'est avant tout l'état d'esprit qui fait la réussite », explique Jacques Daboudet, PDG de Capifrance.
En 2012, 14% des conseillers immobiliers étaient issus de l'industrie, 18% des services et aide à la personne, 9% de l'informatique et 8% de l'hôtellerie-restauration. Capifrance demeure toutefois exigeant quant aux profils recherchés. «L'immobilier est souvent un métier de seconde partie de carrière. Cela se vérifie chez Capifrance qui attire majoritairement des personnes matures, de 45 à 55 ans, dont les aptitudes commerciales et le sens du contact sont avérés », précise Philippe Buyens, Directeur général délégué du réseau.
La formation, clé de la réussite
Pour garantir compétence et performance à ses conseillers, le réseau Capifrance a mise au point un processus de formation interne complet. « Envisager une reconversion implique forcément d'apprendre un nouveau métier. Or, l'immobilier ne s'apprend pas en quelque jours... C'est pourquoi nous avons développé un système qui jalonne le parcours de chacun des nouveaux conseillers. Dès son entrée dans le réseau le conseiller suit une formation d'intégration obligatoire, à laquelle s'ajoute un peu plus tard une formation perfectionnement, ainsi que des modules techniques ou de spécialisation. Le conseiller CAPIFRANCE évolue ainsi au rythme de 168 heures de formation par an. Un record pour la profession », indique Jacques Daboudet.
Mélanie Geyer Kessous