Quand Capifrance mise sur la clientèle des non-résidents
70% des étrangers qui acquièrent un bien immobilier résident déjà en France. Les non-résidents représentaient seulement 2% du marché en 2013. Voilà pourquoi au sein du réseau immobilier Capifrance on mise beaucoup sur cette clientèle potentielle. Explications...
Selon les notaires de France, les premiers acquéreurs non-résidents sont les Français expatriés. Ils représentent près de 30% de la demande. En outre, dans 70% des cas, les étrangers qui acquièrent un bien immobilier résident déjà en France. On note également, que la proportion d'acquéreurs déjà propriétaires (hors de leur pays d'origine) avant leur acquisition en France continue d'augmenter. Plus particulièrement, la part de ces acquéreurs ayant déjà par le passé acheté en France, a plus que doublé, passant de 14 % en 2012 à 33% en 2013. (Source BNP Paribas International buyers). Une tendance qui semble s'inscrire dans la durée puisque les intentions d'achat continuent d'augmenter. Ainsi, 53 % de ces « habitués » déclarent envisager une nouvelle acquisition prochainement.
Pourtant si on regarde au détail, sur la période 2009-2013, les étrangers qui n'habitaient pas dans l'Hexagone avant d'y acheter un appartement représentent seulement 2% des acquéreurs. « Tout reste donc à faire pour attirer une clientèle étrangère souvent plus exigeante en matière de services et de relationnel. C'est pourquoi CAPIFRANCE, premier réseau de mandataires en immobiliers de France a souhaité développer un service international qui leur est dédié » précise David Breuillon, à la tête de celui-ci.
L'objectif : une plus grande réactivité dans le traitement des demandes et de la transparence dans le suivi, mais également une plus grande souplesse dans les solutions proposées, avec la prise en compte du projet de manière globale. « Souvent les étrangers qui souhaitent investir dans un bien immobilier sont inquiets par notre processus de vente ou d'achat, par notre fiscalité ou encore nos démarches administratives lourdes. Il est donc essentiel de les rassurer mais également de les accompagner sur tous ces points » assure David Breuillon. La clientèle expatriée se caractérise en effet souvent par sa volonté de comprendre les aspects réglementaires de l'opération.
D'où l'importance du rôle pédagogique porté par l'interlocuteur du client. Une particularité dont a bien conscience David Breuillon, pour qui « il est essentiel que l'interlocuteur soit capable de répondre à toutes les demandes. Cela permet d'éviter les intermédiaires. D'ailleurs chez CAPIFRANCE on mise depuis toujours sur un interlocuteur unique, qui met en relation le client avec le conseiller, et qui suit de près toutes les étapes de l'acquisition du bien ».
Une stratégie payante puisque le réseau enregistre des taux de recommandations record. « 97% des clients étrangers qui ont fait appel à CAPIFRANCE pour un projet immobilier, recommandent les services du réseau. « C'est sans doute la raison des bonnes performances de CAPIFRANCE concernant la clientèle des non-résidents. Car l'autre particularité des étrangers c'est qu'ils font souvent appel à leurs amis ou relations ayant déjà acquis un bien en France pour trouver leur propriété » explique David Breuillon. C'est en effet le cas de 43 % des non-résidents. Mais cette tendance semble révolue puisque en 2013, 41 % des non-résidents se sont tournés vers les professionnels. (Source BNP Paribas International buyers)
Marie Oppeneau est rédactrice pour le site Observatoire de la Franchise depuis plus de 7 ans. Son intérêt pour la franchise et l'entrepreneuriat l'a naturellement amenée à se spécialiser dans ces domaines. Elle participe activement à la rédaction de nos différents contenus, apportant son expertise pour proposer des articles clairs et adaptés. Son travail permet de tenir nos lecteurs informés des dernières tendances et de mieux comprendre l'actualité du secteur.