Le métier de Conseiller en Gestion de Patrimoine par la franchise Capital Family
Dans les dîners en ville, entre la poire et le fromage, quand inévitablement on vous demande ce que vous faîtes de vos journées, que répondez-vous ? : « Je suis conseiller en gestion de patrimoine indépendant ». Vous vous exposez souvent au silence poli d’une assemblée toute à votre écoute qui généralement n’a guère saisi le sens de vos propos.
Ou bien, réprobateur, ce mutisme suggère que votre auditoire qui ne vous connait pas vous assimile à ceux qui font intrusion dans la vie privée d’autrui le soir à point d’heure ou le samedi au pire moment des activités du week-end en leur proposant par téléphone les solutions miracles de la défiscalisation.
Vous pouvez maladroitement contourner la difficulté en anoblissant l’expression par « Je suis CIF et ou CJA », voire « courtier en crédits et en assurances », ce qui ne va rien arranger et plonger l’endroit où vous vous trouvez dans l’obscurité d’une coupure brutale de courant. Et si par malheur vous ajoutez que vous travaillez dans « le monde de la Finance », par les temps qui courent, vous aggravez la situation en provoquant la désapprobation générale ou un feu de questions sur « la crise » à laquelle, malgré vos compétences, vous ne donnerez pas plus d’explications décisives que les experts qui se déchirent sur le sujet. En tout cas, vous ne vous prévaudrez pas de vos cartes de démarcheurs…
Pourtant, votre objectif de la soirée est que l’on vous confie quelques cartes de visite avec l’espoir que vous serez enfin en mesure de prouver, le lendemain , en tête à tête, au calme, le bien fondé de faire appel à vos conseils. En manque parfois de crédibilité, toujours en quête de nouveaux clients, à la fois concurrent et partenaire des banquiers, spécialiste mais contraint à demeurer généraliste, supportant souvent seul le poids des charges logistiques et de la veille technique, à la merci d’une législation inconstante et quelque fois sibylline, sous la pression d’une remise en cause quotidienne, le CGPI accompli un métier dont la définition n’existe qu’au travers des statuts qu’il aura adopté, sous réserve d’y être éligible.
Dur constat, me direz-vous ! Pourquoi donc continuez-vous à l’exercer et à le promouvoir ?
Paradoxalement, nous sommes convaincus qu’aujourd’hui plus que jamais il est une profession d’avenir.
Son universalité, ses méthodes, son indépendance, sa disponibilité, ses résultats (par exemple, en termes de collecte) le placent en véritable acteur du « Family Office », ou « guichet unique de proximité au service des familles » à l’image du monde anglo-saxon. Nous n’allons pas ici livrer la liste de nos clients qui désormais nous appellent avant d’approcher leurs interlocuteurs « habituels » d’hier.
En revanche, parallèlement aux missions d’information, de formation et de contrôle des organisations professionnelles, il est temps de se doter de moyens pour passer du mode artisanal au mode industriel en s’aidant de ce levier indispensable que procure « l’effet de réseau ».
C’est, à nos yeux, la voie la plus sûre pour développer ce métier passionnant en renforçant simultanément le devoir de conseil qui en est la pierre angulaire.
Et si d’aventure, vous rejoigniez Capital Family ?
Pierre Mérien
Directeur Général
Ou bien, réprobateur, ce mutisme suggère que votre auditoire qui ne vous connait pas vous assimile à ceux qui font intrusion dans la vie privée d’autrui le soir à point d’heure ou le samedi au pire moment des activités du week-end en leur proposant par téléphone les solutions miracles de la défiscalisation.
Vous pouvez maladroitement contourner la difficulté en anoblissant l’expression par « Je suis CIF et ou CJA », voire « courtier en crédits et en assurances », ce qui ne va rien arranger et plonger l’endroit où vous vous trouvez dans l’obscurité d’une coupure brutale de courant. Et si par malheur vous ajoutez que vous travaillez dans « le monde de la Finance », par les temps qui courent, vous aggravez la situation en provoquant la désapprobation générale ou un feu de questions sur « la crise » à laquelle, malgré vos compétences, vous ne donnerez pas plus d’explications décisives que les experts qui se déchirent sur le sujet. En tout cas, vous ne vous prévaudrez pas de vos cartes de démarcheurs…
Pourtant, votre objectif de la soirée est que l’on vous confie quelques cartes de visite avec l’espoir que vous serez enfin en mesure de prouver, le lendemain , en tête à tête, au calme, le bien fondé de faire appel à vos conseils. En manque parfois de crédibilité, toujours en quête de nouveaux clients, à la fois concurrent et partenaire des banquiers, spécialiste mais contraint à demeurer généraliste, supportant souvent seul le poids des charges logistiques et de la veille technique, à la merci d’une législation inconstante et quelque fois sibylline, sous la pression d’une remise en cause quotidienne, le CGPI accompli un métier dont la définition n’existe qu’au travers des statuts qu’il aura adopté, sous réserve d’y être éligible.
Dur constat, me direz-vous ! Pourquoi donc continuez-vous à l’exercer et à le promouvoir ?
Paradoxalement, nous sommes convaincus qu’aujourd’hui plus que jamais il est une profession d’avenir.
Son universalité, ses méthodes, son indépendance, sa disponibilité, ses résultats (par exemple, en termes de collecte) le placent en véritable acteur du « Family Office », ou « guichet unique de proximité au service des familles » à l’image du monde anglo-saxon. Nous n’allons pas ici livrer la liste de nos clients qui désormais nous appellent avant d’approcher leurs interlocuteurs « habituels » d’hier.
En revanche, parallèlement aux missions d’information, de formation et de contrôle des organisations professionnelles, il est temps de se doter de moyens pour passer du mode artisanal au mode industriel en s’aidant de ce levier indispensable que procure « l’effet de réseau ».
C’est, à nos yeux, la voie la plus sûre pour développer ce métier passionnant en renforçant simultanément le devoir de conseil qui en est la pierre angulaire.
Et si d’aventure, vous rejoigniez Capital Family ?
Pierre Mérien
Directeur Général