PrêtPartners est favorable à la réforme du crédit consommation
Christine Lagarde va devoir transposer la directive européenne sur le crédit à la consommation. Elle a jusqu'à juin 2010 pour le faire.
Nous n'attendrons pas cette date pour connaître les modalités d'application prévues par la France puisque la ministre est déjà au travail.
Après avoir pris connaissance du rapport Athling qui dresse un portrait du crédit conso français, Christine Lagarde et Martin Hirsh, secrétaire d'Etat à la Solidarité, préparent un projet de loi pour le 1er trimestre 2009.
Sans avoir donné de détails sur les mesures qui seront proposées, la ministre s'est donné pour objectif de "préserver, de sécuriser et d'élargir le crédit à la consommation".
Elle souhaite règlementer notamment la publicité qu'elle juge "souvent maladroite, peu lisible, peu explicite et excessive".
Comme le souligne le rapport Athling, le crédit revolving (ou crédit renouvelable) est en perte de vitesse, au profit du prêt personnel. Il faut dire que le crédit revolving est parmi les prêts les plus chers du marché, la ministre de l'économie et Monsieur Hirsh l'on bien noté aussi. En 2007, 43 % des taux étaient supérieurs à 19 % !
Mieux informer l'emprunteur, chercher des solutions plus adaptées et moins onéreuses : voilà des points que les conseillers PrêtPartners ont adopté depuis longtemps. Leur ligne de conduite est déjà tournée vers le confort de ses clients, le respect de la règlementation et une déontologie qui leur a permis de se faire une place honorable parmi les courtiers en place.
Informer est une évidence quand notre métier est d'aider le client à mieux choisir.
Nous ne choisissons pas à sa place :
- nous donnons tous les éléments à notre client,
- nous lui donnons ensuite les explications nécessaires pour l'aider à comprendre les côtés trop techniques ou obscurs
- le client peut ensuite faire son choix.
C'est notre métier de courtier, présenter les avantages et inconvénients de chaque solution, ne jamais laisser l'emprunteur repartir avec "des prospectus" dans les mains.
De notre côté, nous nous engageons également à étudier la situation financière de chaque candidat à l'emprunt, le calcul du taux d'endettement, le reste à vivre, la consultation du FICP sont des étapes "back office" mais indispensables, gage de la qualité de notre service et de la pérennité de notre activité.