Franchise Mortelle soirée

LE TÉMOIGNAGE DE LA PREMIÈRE FRANCHISÉE. Cécile Namer a initié la franchise de Paris.

L’activité de Paris est gérée actuellement en propre suite au déménagement de Cécile Namer à l’étranger.

Être franchisée Mortelle Soirée, c’est quoi pour moi ?

"C’est être chef d’entreprise, avec tout le travail mais aussi toute l’indépendance que ça implique, et proposer un produit de grande qualité que les gens apprécient énormément.

En tant qu’actrice/ comédienne, ça me coûte de dépendre autant du choix des autres dans tout le processus d’audition. Il y a beaucoup de travail pour décrocher une audition puis préparer l’audition, trouver un agent, avoir des photos à jour etc. Et même si tout ce travail n’est jamais perdu comme c’est de l’entrainement, le résultat n’est pas toujours en cohérence avec tout le travail effectué.

Avec Mortelle Soirée Paris comme avec Drop Dead Soirée, je suis aux commandes du début jusqu’à la fin. Je propose mon produit et je ne suis pas le produit à moi toute seule. Ce qui fait une grande différence car en tant qu’actrice/comédienne, je suis le produit et il est difficile de se vendre soi-même. Je ne dois pas non plus répondre à un code physique ou à une tranche d’âge. Je suis chef d’entreprise avec toute la confiance que ça apporte. Je suis toujours comédienne mais aussi en charge du marketing, du réseau, des clients, du choix de mes acteurs etc. Et tout ça me fait rencontrer des gens formidables en plus !

Le produit, la Mortelle Soirée, est très vendeur, il a fait maintes fois ses preuves et les fait à nouveau ici à Los Angeles. Les scenarios sont excellents et marchent à merveille pour des évènements professionnels comme pour des particuliers. C’est aussi très flexible, il est facile de s’adapter aux besoins. Les participants sont ravis et ils viennent me remercier à la fin du bon moment qu’ils ont passé. Ils se demandent comment il est possible qu’on ait les indices dans le classeur alors qu’eux-mêmes viennent juste d’y penser après un long processus de réflexion : ça leur semble très professionnel et très fun en même temps.

Dans une autre vie j’étais traductrice, et je n’avais pas pour habitude qu’on me remercie après une traduction J

Tout cela étant dit, c’est bien sûr beaucoup de boulot. Il y a toujours quelque chose à faire, un autre évènement a préparer, un nouveau scenario à imprimer, trouver des nouveaux clients, faire des devis, des factures, de la comm, des négociations… La partie acting n’est plus la plus grosse partie de mon temps de travail.

Avoir une (petite) entreprise, c’est être responsable de tout, mais il n’est pas possible d’être bon en tout. Je ne connais rien à la compta par exemple, il a fallu que je m’y mette, et ce n’est vraiment pas mon activité favorite. J’avoue que j’ai bien réfléchi avant de relancer le concept a Los Angeles. Je me souvenais des difficultés rencontrées à Paris, mais je me souvenais aussi de cet enthousiasme récurrent à proposer un si bon produit, et la réaction des participants si gratifiante.

Je savais aussi que je ne serai pas toute seule. Pascal Martin a toujours été là pour me conseiller, il a sans doute rencontré les mêmes obstacles à un moment donné, et son équipe a toujours été là pour m’aider. Il n’y a qu’à suivre les directives pour toutes les chartes graphiques, les flyers etc, et c’est aussi un gros atout. La marque existe déjà, elle est bien établie, c’est un énorme coup de pouce."

LE TÉMOIGNAGE DU FRANCHISÉ DE LYON. Gilles Feuvrier dirige la franchise de Lyon.

"J’ai démarré la franchise Mortelle Soirée Lyon le 1er octobre 2019, après avoir travaillé comme comédien pour Ludi Sensu qui gérait l’activité à Lyon depuis Toulouse, activité qui s’était surtout développée à Lyon de 2013 à 2016. Pour démarrer sereinement j’avais passé beaucoup de temps à réactiver plusieurs mois en amont une base de données existante, notamment les Agences événementielles et les Lieux Réceptifs sur la région lyonnaise.

Mon souhait de m’investir dans cette activité de Murder Party qui me plaisait beaucoup m’a fait franchir le pas de la franchisation proposée par Ludi Sensu en mars 2019.
J’ai pu bénéficier d’un accompagnement de montage du projet par la CCI de Lyon et bien sûr de l’appui du franchiseur (conseils, formations, écoute, disponibilité). L’accord de prêts bancaires m’a permis de pouvoir signer le contrat de franchise sans difficulté.

A noter que c’était pour moi un changement assez radical dans mon activité professionnelle, n’ayant eu jusque là qu’à gérer des structures associatives plutôt légères.
Dès la prise de fonction, tout s’est très vite enclenché d’une manière optimale, le CA n’a cessé de croître en 5 mois et demi d’activité – pour rappel le 15 mars 2020 la crise du Covid a interrompu tout le secteur de l’événementiel.

J’ai pris alors la pleine mesure de cet engagement et les mois qui ont suivi m’ont conforté dans la justesse de mon choix malgré les difficultés du contexte. Être aux commandes du début à la fin de la réalisation d’une prestation est très agréable, le contact avec les clients ou les prescripteurs se faisant au fil du temps de plus en plus précis. J’ai eu également beaucoup de satisfactions en continuant d’animer les Murder Party en tant que Commissaire, ce qui était une condition importante de mon choix et m’a permis de créer une proximité avec les groupes pour lesquels j’interviens. L’accueil par les entreprises et/ou les lieux réceptifs est à chaque fois excellent, c’est peu de dire qu’opérer dans des cadres avec un confort et une esthétique travaillés est agréable (n’en déplaise aux salles de réunion plus basiques dans les sociétés…). L’essentiel est bien entendu le rapport humain qui s’établit et une Murder Party est à mon sens idéal pour (re) créer du lien, permettre à des coopérateurs de se connaître différemment, la dimension jeu apporte énormément de possibilités à la dynamique d’un groupe.

Après ces 3 années, j’ai pu développer un CA me permettant de me rémunérer à hauteur de mes objectifs, en gérant une quantité de travail supportable, tout en trouvant un épanouissement personnel et professionnel certains. Le plus dur est d’accepter la très forte demande de certaines périodes et parfois un creux de la vague.
Lors du premier confinement, Ludi Sensu a très vite mis en place une solution virtuelle. A la reprise du présentiel, j’ai fait le choix d’investir dans des tablettes numériques, ce qui me permet de gérer de façon plus fluide les préparatifs d’avant et d’après les prestations et de gagner en économie d’énergie – si je puis dire ????"