Hoquet Business met en avant l’effet du télétravail sur les locaux professionnels
Ayant bouleversé les habitudes des entreprises et salariés, le télétravail a incité plusieurs sociétés à réduire la surface de leurs bureaux professionnels. Hoquet Business aborde l’impact de ce concept sur l’immobilier d’entreprise.
La conséquence du télétravail
Selon les études, la plupart des entreprises et salariés désirent introduire 2 ou 3 jours de télétravail par semaine. Une tendance appelée le travail hybride. En 2022, presque 60% des entreprises du secteur tertiaire ont poursuivi le travail hybride et 8 salariés sur 10 ont souhaité conserver ce mode.
Le travail hybride oblige les entreprises à réaménager leur espace de travail et à adopter le flex-office, l’absence de bureau attitré. Concrètement, l’employé change de lieu de travail comme bon lui semble, open space, salle de réunion, salle de coworking, ou encore à domicile.
D’ici 2030, on aura 40 à 50% des bâtiments tertiaires qui seront aménagés pour adopter le flex-desk, afin d’optimiser les coûts immobiliers, limiter l’impact environnemental et faire évoluer les conditions de travail.
Aujourd’hui, cette tendance concerne tous les secteurs, mais est devenue la norme pour les entreprises de télécommunication, l’énergie et l’automobile.
Le travail hybride et le flex-office incitent l’immobilier de bureaux à se réinventer, en créant un environnement de bien-être au travail, sans oublier d’inclure les conciergeries d’entreprises, les espaces de coworking, un espace de repos…
Avec les nouveaux besoins des entreprises et salariés, les critères de sélection des bureaux professionnels ont également évolué, en favorisant désormais les critères RSE, la localisation, la superficie, les espaces de coworking…
Enfin, Hoquet Business souligne le rôle des bureaux professionnels dans la création d’une culture d’entreprise forte.
Patrick Rucart