Interview franchise Citron Vert
Un entretien avec Philippe Curmi, Citron Vert
Philippe Curmi - le
Mélanie Kessous : Quel a été votre parcours professionnel ?
Philippe Curmi : Mon épouse, qui est esthéticienne de formation, a été vendeuse en parfumerie. De 1985 à 1992, nous avons géré un bureau de tabac/presse. Ensuite, mon épouse a souhaité se mettre à son compte. Dans un premier temps, elle a repris un centre d’amincissement qu’elle a revendu en 2001. En 2003, elle a rejoint le réseau Citron Vert en ouvrant une franchise à Villefranche-sur-Saône. Pour l’assister, j’ai pris en charge la partie administrative.
Sur quels critères avez-vous sélectionné votre franchiseur ?
Lors de notre recherche, nous avons rencontré tous les acteurs en présence sur le secteur. Nous souhaitions intégrer un réseau jeune et encore peu développé. A l’époque Citron Vert était le dernier né des réseaux dans le domaine de la beauté. Cette franchise, très proche géographiquement de notre lieu d’implantation, cumulaient donc les avantages que nous recherchions. Nous avons rencontré l’équipe et avons apprécié le contact avec les dirigeants de l’enseigne.
En optant pour un réseau jeune, nous étions sûrs d’être considérés comme de véritables partenaires. Nous ne nous sommes pas trompés. Notre collaboration est un véritable partenariat et nous ne sommes pas considérés comme un simple pion dans le réseau.
Quels sont les qualités de ce réseau ?
Six ans après l’installation de votre institut, quel est votre sentiment ?
Quel conseil donneriez-vous à un futur franchisé ?
Pour ouvrir une franchise Citron Vert il faut un apport personnel de 30 000 €. Vous souhaitez créer une entreprise dans le secteur Franchise esthétique
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