Interview franchise The Athlete's Foot
Un entretien avec Anne Paga
Anne Paga - le
C’est à Franchise Expo 2003 qu’Anne Paga a découvert la Franchise The Athlete’s Foot. Moins d’un an après, elle ouvre son magasin. Premières impressions…
Comm LC : Pourquoi avoir choisi la franchise et plus particulièrement le secteur de la chaussure de sport ?
Anne Paga : L’assistance du franchiseur est incontestablement la motivation principale dans le choix de ce type de commerce.
Lorsque je me suis rendue au Salon de la Franchise en mars 2003, je n’avais aucun à priori ni d’idées concrètes quant au choix du franchiseur. Etant commerçante dans le prêt-à-porter masculin, je souhaitais ne pas trop m’éloigner du secteur textile que je connais bien.
Quelles ont été vos motivations dans le choix du franchiseur ?
C’est en rencontrant plusieurs franchiseurs que j’ai découvert l’enseigne The Athlete’s Foot. Je fonctionne beaucoup au feeling, et c’est seulement après avoir longueme nt discuté avec les dirigeants de l’enseigne, que ma décision a été prise. De plus, j’avais conscience que le marché de la chaussure de sport compte parmi les créneaux porteurs. Aujourd’hui, même si je n’ai que très peu de recul, je ne regrette pas mon choix.
Quelles ont été les réactions de la clientèle ?
Depuis l’ouverture du magasin, le 18 février, je n’ai que de bons échos. Les clients, et en particulier les jeunes, souhaitaient depuis longtemps un magasin de chaussures de sport « tendance » à proximité. Je pense avoir réalisé le voeu de nombreuses personnes qui étaient forcées de se rendre jusqu’à Toulouse pour trouver une offre mode et variée. Pour ceux qui ne sont, à priori, pas attirés par les chaussures de sport, nous suscitons quand même leur curiosité et leur intérêt, interpellés par la luminosité et les couleurs chatoyantes qui transparaissent de l’extérieur du magasin.
Pour quel scénario avez-vous opté et quels sont les moyens de communication utilisés pour le faire vivre ?
Nous avons choisi de mettre en scène un scénario mode en travaillant sur des univers de couleur. En attendant de mieux appréhender les attentes de nos clients après quelques semaines de recul, nous avons cherché à créer l’envie par une offre « fashion » avec des marques et modèles tendances sur le créneau sport-ville. Nous avons, par exemple, référencé les produits « Merrell », qui font le trait d’union entre baskets et chaussures de ville.
En terme de communication, nous pensons privilégier notre cœur de cible en instaurant des partenariats avec les discothèques et en distribuant des prospectus à la sortie des lycées et collèges.
Parallèlement, le magasin, en plein centre d’une petite ville de province, se présente d’ores et déjà comme un excellent vecteur de communication qui fait très bien fonctionner le bouche à oreille.
Sur quels critères avez-vous constitué votre première collection ?
J’étais déterminé sur le choix d’un positionnement mode qui correspond à mes affinités et aux attentes des clients que j’avais pu évaluer en travaillant plusieurs années dans un magasin de prêt-à-porter.
Pour le reste, c’était la grande inconnue car je n’ai pas d’expérience dans le secteur de la chaussure de sport, d’où l’intérêt de bénéficier du savoir-faire du franchiseur. Je me suis donc reposée sur les connaissances de l’Equipe Produits en terme de marché, de tendances et modèles en vogue. Azzedine El Bied, qui a constitué la première commande, m’a été d’un grand soutien. Il m’a expliqué toutes les raisons de ses choix en respectant l’orientation que je voulais donner à mon offre. Je me sens aujourd’hui mieux armée pour établir mes prochaines commandes, même si j’attends encore beaucoup de conseils et d’assistance de la part de l’Equipe Produits.
Le franchiseur a-t-il, jusqu’à présent, répondu à vos attentes et comment envisagez-vous l’avenir de vos relations de partenariat ?
Dès le départ, nos relations se sont bien engagées et mon projet s’est très rapidement concrétisé. Du choix de l’enseigne jusqu’à l’ouverture du magasin, moins d’un an s’est écoulé. Toute seule, j’aurai sans doute eu des difficultés à tout mener de front, l’aménagement du magasin, la constitution de la première collection, la gestion du stock qui s’avère très rigoureuse, les derniers ajustements avant l’ouverture, le stress du premier jour... Depuis le début de notre collaboration, l’équipe du franchiseur s’est montrée très disponible et j’ai vraiment apprécié la présence de Nicolas Guillosson et Azzedine El Bied, la veille et le jour de l’ouverture du magasin. Il est encore un peu tôt pour tirer des conclusions mais tout se déroule selon les prévisions.
A présent, je compte sur le soutien de l’équipe The Athlete’s Foot pour faire vivre et évoluer mon commerce, pour remonter les informations sur le marché et les marques et me faire bénéficier de l’expérience des autres franchisés du réseau. Alliés à notre écoute très attentive de la clientèle et à la concertation permanente avec les vendeurs, les compétences, le recul et les connaissances du franchiseur sont les valeurs ajoutées que j’attends de notre partenariat.
Entretien réalisé par Comm LC
Catherine Lebée - Marion Dicker
68 Rue d'Herblay - 95370 Montigny-Lès-Cormeilles
Tél. : 01.34.50.22.36 - Fax : 01.34.50.01.60
site : www.commlc.com
Mode et équipement de la personne : ces entreprises en croissance recrutent
Pour devenir franchisé The Athlete's Foot il faut un apport personnel de 90 000 €. Vous souhaitez créer une entreprise dans le secteur Franchise chaussure
Découvrez les chaines spécialisées sur la page franchise Franchise chaussure
Avez-vous apprécié cet article ?
En votant vous nous aidez à améliorer la qualité du contenu du site.