Arnaud Tison, franchisé chez Autosmart depuis trois mois, témoigne
À l’occasion de l’anniversaire de ses trois mois d'activité, Arnaud Tison, qui couvre les secteurs d'Étampes et d'Évry en Essonne, a accepté de témoigner de son expérience de jeune franchisé chez Autosmart.
Ancien chef de secteur chez Carrefour et passionné de voitures anciennes, il a rejoint Autosmart car le concept l'a attiré et « Évidemment, ça me plait toujours » déclare Arnaud d'entrée de jeu. Quelques mois après son lancement, il est ravi de son choix et son quotidien de franchisé Autosmart est conforme à ce qu'il l’imaginait, se divisant entre des journées clients et des journées prospection à vendre d’excellents produits professionnels. Comme de nombreux franchisés avec lui, il a pu démarrer son business avec des clients déjà existants. « Depuis j’ai un nouveau client presque tous les jours » ajoute-t-il.
A sa prise de poste, il a eu l'occasion de d'effectuer plusieurs tournées avec des franchisés Autosmart déjà établis : « J’ai ainsi pu me rendre compte de la réalité du métier, discuter ouvertement et en toute transparence. Par exemple, quelque soit la région, ils ont tous convenu que la première année n’était pas la plus facile. Je m’accroche parce que c’est gratifiant sur le long terme et parce que je ne suis pas seul ». Arnaud dispose en effet du soutien d’un expert terrain attitré, Abdel Jamal. Ce dernier l’accompagne dans ses tournées et représente véritablement un réel appui, tant sur la technique que sur la vente.
Arnaud est détenteur du record de vitesse d’ouverture d’entreprise, et cela est dû à son choix de prendre un camion de moins de 3.5T, ce qui lui a évité de devoir passer un permis poids lourd. Il a également réduit son investissement initial sans pour autant faire d'impasses sur les produits qu'il propose à ses clients : « Certes, cela me demande d’être organisé pour éviter d’avoir à réapprovisionner mon camion pendant la journée. Mais il y a tellement d’avantages économiques à ce format que j'y trouve mon compte » dit-il en guise de conclusion.
Rodolphe Hatchadourian