Témoignage de Vincent Bodnar, franchisé Domicile Clean à Fontainebleau (77)
Avec une formation de professeur d’EPS, Vincent Bodnar s’est dans un premier temps dirigé vers le monde des collectivités locales en occupant le poste de directeur des sports. C’est dans le privé qu’il poursuit sa carrière en rejoignant la grande distribution spécialisée, chez Décathlon puis Go Sport. Il dirige finalement une école supérieure de commerce avant décider de se lancer dans la création d’entreprise. « A ce moment là, je me suis senti dans la peau d’un apprenti nageur qui, au bord de la piscine, hésite à sauter. Je savais que si je ne sautais pas, je ne saurais jamais si je savais réellement nager. » Il envisage alors la franchise comme la solution idéale. « J’ai pu sauter dans la piscine la main tenue par un maître nageur. » Bien souvent le principal frein à la création d’une entreprise est effectivement la peur. « Le fait de m’appuyer sur une expertise m’a donné une assurance », confie l’entrepreneur. Quand il décide de créer son entreprise, Vincent Bodnar se renseigne sur des sites Internet dédiés. « J’ai épluché les modalités des contrats. Ensuite, il s’agissait de choisir un secteur d’activité porteur et en développement. » Vincent Bodnar souhaite avoir un contact direct avec le client et désire mettre à profit son expérience de management d’équipes. Il opte finalement pour les services à la personne et l’enseigne Domicile Clean. « Le franchiseur a toujours été disponible quand j’ai eu besoin de lui et continue à l’être. Aujourd’hui, je bénéficie d’une hotline commerciale, juridique, comptable. Je sais que je ne dois pas hésiter à prendre le téléphone chaque fois que j’en ressens le besoin. » Le jeune chef d’entreprise apprécie cette réelle disponibilité et a retrouvé au sein du réseau des valeurs communes.
Faire les choix qui vous correspondent
« Vous savez, une franchise, c’est un peu comme un mariage. Il faut que l’on se plaise mutuellement ! Il faut que l’on ait envie de représenter le franchiseur et inversement que le franchiseur ait envie que l’on représente sa marque. » Et comme un mariage nécessite quelques concessions, Vincent Bodnar respecte le contrat ! « Une création d’entreprise nécessite énormément de travail. Elle induit un mélange entre la vie professionnelle et la vie privée. Je suis gérant de la société 24 heures / 24. Je m’y attendais mais c’est sans doute la principale difficulté à gérer. » Désormais, à chaque instant, il raisonne en chef d’entreprise. Et pense d’ores et déjà au développement de son activité. « Mon agence a atteint très tôt un bon seuil de rentabilité. Aujourd’hui, je songe donc à l’ouverture d’une deuxième agence. »
Le jeune entrepreneur est fier d’avoir fait le choix qui lui correspondait le mieux. « Dans les services à la personne, la partie ressources humaines est fondamentale. Notre activité est essentiellement dépendante de la qualité de nos intervenantes et intervenants. Il faut aussi compter sur la notion de service client et de recherche continuelle de satisfaction, qui sont des valeurs liées aux savoirs-être que l’on doit d’après moi absolument posséder ».
Conquis par sa nouvelle vie, Vincent Bodnar a conseillé deux de ses amis personnels, qui ont depuis créé leur agence.
Rédigé par Mélanie Kessous
Faire les choix qui vous correspondent
« Vous savez, une franchise, c’est un peu comme un mariage. Il faut que l’on se plaise mutuellement ! Il faut que l’on ait envie de représenter le franchiseur et inversement que le franchiseur ait envie que l’on représente sa marque. » Et comme un mariage nécessite quelques concessions, Vincent Bodnar respecte le contrat ! « Une création d’entreprise nécessite énormément de travail. Elle induit un mélange entre la vie professionnelle et la vie privée. Je suis gérant de la société 24 heures / 24. Je m’y attendais mais c’est sans doute la principale difficulté à gérer. » Désormais, à chaque instant, il raisonne en chef d’entreprise. Et pense d’ores et déjà au développement de son activité. « Mon agence a atteint très tôt un bon seuil de rentabilité. Aujourd’hui, je songe donc à l’ouverture d’une deuxième agence. »
Le jeune entrepreneur est fier d’avoir fait le choix qui lui correspondait le mieux. « Dans les services à la personne, la partie ressources humaines est fondamentale. Notre activité est essentiellement dépendante de la qualité de nos intervenantes et intervenants. Il faut aussi compter sur la notion de service client et de recherche continuelle de satisfaction, qui sont des valeurs liées aux savoirs-être que l’on doit d’après moi absolument posséder ».
Conquis par sa nouvelle vie, Vincent Bodnar a conseillé deux de ses amis personnels, qui ont depuis créé leur agence.
Rédigé par Mélanie Kessous