Témoignage d’Anthony Burlot, franchisé Domicile Clean à Saint-Brieuc
Après cinq ans passés dans la grande distribution au poste de chef de rayon, Anthony Burlot souhaitait évoluer. « Mais dans ce domaine, impossible d’évoluer sans accepter une clause de mobilité qui ne me convenait pas », confie le jeune entrepreneur. Anthony Burlot désire rester en Bretagne. Il songe alors à créer son entreprise mais hésite à se lancer. « Finalement, la franchise est apparue comme une solution intermédiaire qui me permettait de me lancer tout en étant accompagné », raconte le franchisé. Pour cette création, Anthony cherche une franchise accessible sur un secteur porteur. Au gré de ses recherches, il s’intéresse au secteur en plein développement des services à la personne. Rapidement, il entre en contact avec un des acteurs du marché. « Mais dès le deuxième rendez-vous, j’ai senti des divergences. » Anthony Burlot prend alors en contact avec Domicile Clean. Cette franchise sera la bonne. « Nous avons rapidement avancé ensemble. La création de l’entreprise a pris deux mois. En novembre 2008, mon agence ouvrait ses portes, environ cinq mois après ma première rencontre avec le franchiseur. »
"La stratégie de l'enseigne est la bonne"
Anthony Burlot devient alors un des premiers franchisés du réseau et un des seuls à posséder un local. Pour le jeune entrepreneur, la formation se limite à une semaine, Anthony maîtrisant déjà la partie recrutement et management de part ses anciennes fonction. « Le franchiseur m’a formé pour maîtriser la partie commerciale et les spécificités du métier. » Après des débuts un peu lents et stressants, l’agence atteint rapidement un bon rythme de croisière rattrapant rapidement le prévisionnel. « Durant la période de démarrage, j’ai toujours reçu le soutien et des conseils de la part du franchiseur », explique-t-il. Aujourd’hui, aux côtés de ses 30 salariés, Anthony Burlot a d’ores et déjà de nouveaux projets. Son territoire couvrant tout le département des Côtes d’Armor, Anthony Burlot prévoit l’ouverture de deux nouvelles agences. « Mon franchiseur m’a proposé un secteur porteur pour ouvrir ma seconde agence d’ici 2011. » Avec le recul, Anthony savoure sa liberté et reconnaît qu’il doit sa réussite « à une implication totale dans son projet aux côtés de son franchiseur. » Le 23 mai dernier, la première réunion nationale a réuni les 40 franchisés du réseau. « Cela montre que le groupe Domicile Clean commence à prendre une place importante dans le secteur au niveau national. Les différents échanges que j’ai pu avoir durant cette convention m'ont conforté dans le fait que la stratégie de l’enseigne est la bonne », conclut-il enthousiaste.
Rédigé par Mélanie Kessous
"La stratégie de l'enseigne est la bonne"
Anthony Burlot devient alors un des premiers franchisés du réseau et un des seuls à posséder un local. Pour le jeune entrepreneur, la formation se limite à une semaine, Anthony maîtrisant déjà la partie recrutement et management de part ses anciennes fonction. « Le franchiseur m’a formé pour maîtriser la partie commerciale et les spécificités du métier. » Après des débuts un peu lents et stressants, l’agence atteint rapidement un bon rythme de croisière rattrapant rapidement le prévisionnel. « Durant la période de démarrage, j’ai toujours reçu le soutien et des conseils de la part du franchiseur », explique-t-il. Aujourd’hui, aux côtés de ses 30 salariés, Anthony Burlot a d’ores et déjà de nouveaux projets. Son territoire couvrant tout le département des Côtes d’Armor, Anthony Burlot prévoit l’ouverture de deux nouvelles agences. « Mon franchiseur m’a proposé un secteur porteur pour ouvrir ma seconde agence d’ici 2011. » Avec le recul, Anthony savoure sa liberté et reconnaît qu’il doit sa réussite « à une implication totale dans son projet aux côtés de son franchiseur. » Le 23 mai dernier, la première réunion nationale a réuni les 40 franchisés du réseau. « Cela montre que le groupe Domicile Clean commence à prendre une place importante dans le secteur au niveau national. Les différents échanges que j’ai pu avoir durant cette convention m'ont conforté dans le fait que la stratégie de l’enseigne est la bonne », conclut-il enthousiaste.
Rédigé par Mélanie Kessous