Témoignage de Béatrice Gerardo, franchisée Domicile Clean à Bordeaux
A 28 ans, Béatrice Gerardo est une jeune-femme dynamique au tempérament entrepreneurial.
De formation commerciale, elle a occupé durant trois ans le poste de chargée de développement chez deux franchiseurs. D’abord dans le secteur de la fleur puis celui de la puériculture. La franchise, c’est son domaine!
Mais à force de côtoyer des franchisés épanouis, l’idée de faire la même chose a germé. « Mes deux expériences du côté franchiseur m’ont confortée dans mon choix d’entreprendre accompagnée par la notoriété et le savoir-faire d’une enseigne. J’ai décidé de me lancer », raconte-t-elle. Ces nombreux déplacements sur des salons professionnels lui ont permis de découvrir les secteurs forts de la franchise dont celui des services à la personne.
« A 28 ans, je ne disposais pas d’un apport personnel très important. Je recherchais donc une franchise abordable. »
Sur le secteur des services à la personne, peu gourmand en investissement, Béatrice Gerardo débute sa quête d’enseigne. « Ne souhaitant pas entreprendre sur le domaine de l’aide à domicile, j’ai d’emblée recherché des franchises installées sur le domaine des services et notamment des services de proximité. » Rapidement, elle identifie l’enseigne Domicile Clean. « En octobre 2008, je me suis déplacée à Rennes pour rencontrer les dirigeants du réseau.»
Le partage des valeurs
Le franchiseur et la future chef d’entreprise partagent les mêmes valeurs : la qualité de services, le respect des salariés et du client. « En deux semaines, j’ai pris ma décision et démissionné en décembre. » Epaulée par son franchiseur présent à chaque étape de son projet, Béatrice élabore son étude de marché, part à la recherche de partenaires financiers et entame les démarches administratives. En janvier, elle part en formation une semaine au siège rennais du groupe. En février 2009, son agence ouvre à Bordeaux, sans local avec un investissement global de 35 000 €. « Dans mon cas, une agence physique n’avait pas d’intérêt. Cela s’est vérifié puisqu’en 18 mois seulement deux personnes sont venues me voir. Nous sommes sur une activité nomade.»
Un an et demi après l’ouverture de son entreprise, Béatrice est satisfaite. Au quotidien, elle peut compter sur le soutien de son franchiseur. « Je sais que je peux m’appuyer sur eux pour m’aider à résoudre des difficultés éventuelles.» Depuis deux mois, elle se rémunère et son activité a subi une belle accélération en 2010 tant en notoriété qu’en chiffre d’affaires. « Ce projet professionnel a nécessité un investissement total et un rythme de travail très soutenu. Etre chef d’entreprise représente des responsabilités et du stress. Malgré tout, une fois la décision prise, il ne faut plus douter et ne plus se poser de questions quant à sa possibilité d’y arriver. » Accompagnée par son franchiseur au travers de visites régulières et de compléments de formation, Béatrice commence à penser à l’avenir. «Ma zone d’exclusivité est très vaste et je ne la travaille pas encore entièrement. Mais d’ici 12 à 18 mois, j’aimerais m’étendre géographiquement pour toucher des communes un peu plus éloignées. »
Rédigé par Mélanie Kessous
De formation commerciale, elle a occupé durant trois ans le poste de chargée de développement chez deux franchiseurs. D’abord dans le secteur de la fleur puis celui de la puériculture. La franchise, c’est son domaine!
Mais à force de côtoyer des franchisés épanouis, l’idée de faire la même chose a germé. « Mes deux expériences du côté franchiseur m’ont confortée dans mon choix d’entreprendre accompagnée par la notoriété et le savoir-faire d’une enseigne. J’ai décidé de me lancer », raconte-t-elle. Ces nombreux déplacements sur des salons professionnels lui ont permis de découvrir les secteurs forts de la franchise dont celui des services à la personne.
« A 28 ans, je ne disposais pas d’un apport personnel très important. Je recherchais donc une franchise abordable. »
Sur le secteur des services à la personne, peu gourmand en investissement, Béatrice Gerardo débute sa quête d’enseigne. « Ne souhaitant pas entreprendre sur le domaine de l’aide à domicile, j’ai d’emblée recherché des franchises installées sur le domaine des services et notamment des services de proximité. » Rapidement, elle identifie l’enseigne Domicile Clean. « En octobre 2008, je me suis déplacée à Rennes pour rencontrer les dirigeants du réseau.»
Le partage des valeurs
Le franchiseur et la future chef d’entreprise partagent les mêmes valeurs : la qualité de services, le respect des salariés et du client. « En deux semaines, j’ai pris ma décision et démissionné en décembre. » Epaulée par son franchiseur présent à chaque étape de son projet, Béatrice élabore son étude de marché, part à la recherche de partenaires financiers et entame les démarches administratives. En janvier, elle part en formation une semaine au siège rennais du groupe. En février 2009, son agence ouvre à Bordeaux, sans local avec un investissement global de 35 000 €. « Dans mon cas, une agence physique n’avait pas d’intérêt. Cela s’est vérifié puisqu’en 18 mois seulement deux personnes sont venues me voir. Nous sommes sur une activité nomade.»
Un an et demi après l’ouverture de son entreprise, Béatrice est satisfaite. Au quotidien, elle peut compter sur le soutien de son franchiseur. « Je sais que je peux m’appuyer sur eux pour m’aider à résoudre des difficultés éventuelles.» Depuis deux mois, elle se rémunère et son activité a subi une belle accélération en 2010 tant en notoriété qu’en chiffre d’affaires. « Ce projet professionnel a nécessité un investissement total et un rythme de travail très soutenu. Etre chef d’entreprise représente des responsabilités et du stress. Malgré tout, une fois la décision prise, il ne faut plus douter et ne plus se poser de questions quant à sa possibilité d’y arriver. » Accompagnée par son franchiseur au travers de visites régulières et de compléments de formation, Béatrice commence à penser à l’avenir. «Ma zone d’exclusivité est très vaste et je ne la travaille pas encore entièrement. Mais d’ici 12 à 18 mois, j’aimerais m’étendre géographiquement pour toucher des communes un peu plus éloignées. »
Rédigé par Mélanie Kessous