La franchise In&Fi Crédits à l’honneur !
Capital : Dans son édition du mois d'Avril 2009, le mensuel Capital explique qu'« il vaut mieux faire appel à un courtier spécialisé pour décrocher la meilleure offre du moment. ». « Début Mars, nous avons soumis à quinze banques les dossiers de trois clients types pour savoir quel taux de crédit ces derniers obtiendraient s'ils contactaient les établissements en direct. Parallèlement, trois courtiers (In&Fi Crédits, Meilleur taux et AB courtage) ont prospecté le marché pour le compte de ces mêmes clients. A chaque fois, ils ont obtenu le taux le plus bas. ». « Pour chacun des clients étudiés, les courtiers ont obtenu un taux inférieur de 0,5 points à la moyenne du marché. Soit 11500 euros d'économie pour 200 000 euros empruntés. Largement de quoi justifier leurs honoraires (de 500 à 900 euros).»
Nouvel Economiste : Dans un article daté du 5 Mars 2009, le Nouvel Economiste montre comment « internet a impacté tous les secteurs de l'économie, notamment les transactions immobilières et l'activité du crédit. « Il y a eu une inversion dans le déroulement d'une transaction, décrit Bernard Cadeau, (président du réseau d'agence immobilière Orpi). Auparavant, les acquéreurs venaient chercher un bien, et s'occupaient du financement ensuite. Maintenant, les clients viennent dans l'agence avec un budget bien établi." Et le courtier devient alors un intermédiaire indispensable. Maintenant, pour le consommateur, l'idée n'est pas tant d'obtenir le meilleur taux que de décrocher un crédit à des conditions acceptables. "Les courtiers ont des marges de négociation plus importantes que les particuliers, et peuvent vraiment aider dans cette démarche", affirme Bruno Rouleau, d'In&Fi France. D'autant que les banques y trouvent leur compte. "Nous sommes plus rentables que le "conseiller maison". Au final, l'établissement financier trouve en face de lui un client ciblé et une proposition de montage adaptée à la situation de l'emprunteur.»
Le Figaro : Faisant le tour des solutions pour mieux négocier son crédit, l'édition spéciale du Figaro, datée du 17 mars 2009, cite Patrice Matagne, directeur associé d'In&Fi France : « face à la prudence relative des banques, il existe plusieurs moyens pour optimiser son profil emprunteur. ». « Un compte sans découvert, un endettement minimum, et un bon apport personnel, sont autant de cartes à faire valoir.». L'article donne également quelques conseils précieux : « vous avez tout intérêt à négocier pas à pas chaque clause de votre crédit, car les banques continuent de prêter et même de se battre sur les taux des prêts immobiliers. En effet, pour les établissements bancaires, le prêt immobilier reste le meilleur moyen de capter de nouveaux clients. N'hésitez donc pas à faire jouer la concurrence sur les frais annexes et notamment sur l'assurance emprunteur, qui peut représenter jusqu'à 20 % du coût de la dette. »
Nouvel Economiste : Dans un article daté du 5 Mars 2009, le Nouvel Economiste montre comment « internet a impacté tous les secteurs de l'économie, notamment les transactions immobilières et l'activité du crédit. « Il y a eu une inversion dans le déroulement d'une transaction, décrit Bernard Cadeau, (président du réseau d'agence immobilière Orpi). Auparavant, les acquéreurs venaient chercher un bien, et s'occupaient du financement ensuite. Maintenant, les clients viennent dans l'agence avec un budget bien établi." Et le courtier devient alors un intermédiaire indispensable. Maintenant, pour le consommateur, l'idée n'est pas tant d'obtenir le meilleur taux que de décrocher un crédit à des conditions acceptables. "Les courtiers ont des marges de négociation plus importantes que les particuliers, et peuvent vraiment aider dans cette démarche", affirme Bruno Rouleau, d'In&Fi France. D'autant que les banques y trouvent leur compte. "Nous sommes plus rentables que le "conseiller maison". Au final, l'établissement financier trouve en face de lui un client ciblé et une proposition de montage adaptée à la situation de l'emprunteur.»
Le Figaro : Faisant le tour des solutions pour mieux négocier son crédit, l'édition spéciale du Figaro, datée du 17 mars 2009, cite Patrice Matagne, directeur associé d'In&Fi France : « face à la prudence relative des banques, il existe plusieurs moyens pour optimiser son profil emprunteur. ». « Un compte sans découvert, un endettement minimum, et un bon apport personnel, sont autant de cartes à faire valoir.». L'article donne également quelques conseils précieux : « vous avez tout intérêt à négocier pas à pas chaque clause de votre crédit, car les banques continuent de prêter et même de se battre sur les taux des prêts immobiliers. En effet, pour les établissements bancaires, le prêt immobilier reste le meilleur moyen de capter de nouveaux clients. N'hésitez donc pas à faire jouer la concurrence sur les frais annexes et notamment sur l'assurance emprunteur, qui peut représenter jusqu'à 20 % du coût de la dette. »