Franchise Point S, du côté des femmes
61% des conductrices ont déjà changé : essuie-glaces, pneus, batterie, ampoules
85% se sentent capables de le faire
Forte de ce constat, l’enseigne prend le parti d’être du côté des femmes en matière d’automobile.
Premières mesures de la communication « Point S, du côté des Femmes »
2008, prendre le mal à la racine : Faire évoluer les mentalités sur les femmes au
volant
- Création d’un site Internet dédié aux femmes : www. vive les femmes au volant.com. Un site conçu pour aider les femmes à se défendre du machisme des hommes en matière d’automobile.
- Édition d’un livre, « Le permis de répondre », disponible dans les 350 points de vente Point S. Il s’agit d’un lexique de blasphèmes masculins à l’égard des femmes et de réponses toutes faites pour ces dernières. Un livre indispensable dans la voiture.
2009 : Création d’un S Lounge : un point de vente Point S dédié aux femmes.
- Lancement d’un Vanity Car : un kit pratique pour les premiers soins de la voiture, distribuédans les points de vente.
Étude BVA sur les Femmes et l’entretien automobile
Spécialiste de l’entretien automobile et co-leader du marché du pneumatique, Point S s’intéresse aux femmes et met en place, début 2008, une étude BVA* pour
observer le comportement des conductrices face à l’entretien de leur véhicule. Cette enquête met en exergue des informations qui vont à l’encontre d’idées préconçues : les conductrices ne sont pas si mauvaises et désintéressées en terme de mécanique automobile, elles sont même relativement autonomes pour la veille (usure des pneus, planning des vidanges, ..) et les interventions simples (changement des essuie-glaces, d’un pneu crevé, d’ampoules et de la batterie). De plus, 88% d'entre elles font confiance aux professionnels, notamment en terme de compétences mécaniques.
Les résultats de l’étude*
Des conductrices de plus en plus indépendantes pour l’entretien de leur voiture
Plutôt rationnelles par rapport à leur véhicule, qu’elles considèrent principalement comme un simple moyen de transport (pour 92% d’entre elles), les conductrices françaises s’impliquent de plus en plus dans l’entretien mécanique et de manière autonome :
- 6 femmes interrogées sur 10 ont déjà été confrontées à un problème technique, qu’elles ont résolu seules.
- 9 sur 10 se sentent capable de réaliser une intervention simple : le changement des essuie-glaces, des pneus, des ampoules ou de la batterie.
En majorité, elles déclarent maîtriser les connaissances essentielles en terme d’entretien : usure des pneus (88%), signification des voyants du tableau de bord (86%),
planning des vidanges (76%).
34% d’entre elles aimeraient en savoir plus en mécanique.
Mais lorsqu’il s’agit de s’occuper régulièrement et concrètement de l’entretien du véhicule en l’emmenant chez un professionnel (vidanges, contrôles techniques, réparations, …), 58% des conductrices principales déclarent déléguer.
Même si en cas de panne, 54% des conductrices s’en remettent d’abord à un proche (dont 40% à leur conjoint) puis à un professionnel (43%), elles sont 88% à déclarer avoir confiance en ces derniers. 4 femmes interrogées sur 10 s’occupent de l’entretien de leur véhicule et sélectionnent le professionnel pour sa compétence (46%).
79% des conductrices se sentent bien accueillies chez les professionnels, mais pas toujours très bien considérées. Certaines ont le sentiment d’être considérées comme étant nulles en mécanique (76%), d’autres comme étant faciles à arnaquer (71%) ou de mauvaises conductrices (37%).
Les attentes des conductrices semblent être équivalentes à celles des hommes : informations, explications et preuves, compétences et qualités humaines.
*Étude BVA réalisée par enquête sur un échantillon de 883 femmes âgées de 18 ans et plus, conductrices principales d’un véhicule du foyer.