ATOL dévoile sa nouvelle collection Ushuaïa Optique
La nouvelle collection Ushuaïa Optique est le résultat de la démarche d’économie responsable engagée par ATOL. Son objectif : offrir au consommateur un produit de la meilleure qualité, véritable démonstration du savoir-faire français, à un tarif conforme à la moyenne du marché.
Parce que la qualité est primordiale pour tout équipement optique, ATOL a choisi de privilégier le savoir-faire français, cher aux yeux des consommateurs. Depuis 2005 et la relocalisation de ses lignes de production, ATOL affirme sa volonté d’aller à contre-courant de la tendance générale du marché de l’optique qui vise à délocaliser. Ainsi, la nouvelle collection Ushuaïa d’ATOL est fabriquée dans le Jura, berceau bicentenaire de l’industrie lunetière en France.
En effet, d’après une étude IPSOS/ATOL réalisée en septembre 2006, plus de 60% des Français se disent prêts à acheter un équipement optique produit en France, même si les prix restent plus élevés. Les interviewés[1] déclarent être prêts à payer 17% plus cher une paire de lunettes fabriquée sur le territoire.
Fruit d’une démarche d’économie responsable et d’un savoir-faire français, la nouvelle collection Ushuaïa Optique saura séduire le plus grand nombre notamment grâce à des prix de vente qui la positionne à la moyenne du marché.
Recette de fabrication d’un produit 100% Français…
3 phases d’une recette aux ingrédients 100% français : la fabrication, le traitement de surface et la finition.
La fabrication
La fabrication de toutes les montures Ushuaïa fait appel à des technologies de pointe telles que la découpe chimique, le décolletage, la tribofinition ou encore le matriçage. En moyenne, ce ne sont pas moins de 40 opérations successives qui sont nécessaires pour la production d’une seule monture Ushuaïa.
Les montures percées sont réalisées dans un acier Inox de qualité chirurgicale, ce qui leur donne une légèreté exceptionnelle (4.6g).
Le nez et les tenons sont matricés donc sans soudure, ce qui réduit quasiment à néant le risque de casse. Un savoir faire qu’on ne trouve qu’en France. Disponibles à 149 euros (monochromes) et 159 € (bicolores)
Les montures métal, cerclées ou nylor, sont fabriquées par découpe chimique, permettant d’obtenir des rendus très qualitatifs. La tribofinition sert à supprimer tous les petits morceaux de métal qui resteraient encore afin d’obtenir pour un rendu « poli ». Disponibles à 149 euros
Le traitement de surface se déroule en trois temps
- Le traitement galvanique : un dépôt de métal par électrolyse permet de protéger la monture contre l’usure et la corrosion.
- Le vernis : appliqué par pulvérisation électrostatique, il contribue également à protéger la monture des agressions tout en lui donnant une esthétique agréable.
- La décoration : l’application de laque sur la face des tenons est un travail manuel et minutieux qui demande de l’agilité et de la patience. La laque donne à la monture une touche d’originalité qui fait la différence.
La finition
Une fois la monture décorée, cette dernière arrive au stade de la finition. Cette étape finale, réalisée exclusivement manuellement garantie une qualité optimale. Pour assurer une qualité maximale des lunettes Ushuaïa, les montures sont contrôlées, préparées et testées individuellement. Au total, plus de vingt opérations sont réalisées pour obtenir des produits irréprochables.
Focus sur deux métiers en voie de disparition : la laqueuse et le rhabilleur
En relocalisant ses lignes de production, ATOL dynamise la filière de l’optique en permettant à certains métiers de se maintenir.
Le métier de laqueuse qui allie intelligence manuelle et technologique, se conjugue parfaitement au féminin, puisque pratiqué principalement par des femmes. Précision, minutie, dextérité et expérience sont les qualités requises pour exercer ce métier manuel. L’outil principal utilisé par la laqueuse est
une seringue permettant d’appliquer la couleur avec une aiguille sur la surface des montures. L’étape du laquage fait partie du traitement de la surface juste avant la phase de finalisation. Avant l’application de couleurs, une couche de chrome noir pour la protection de la surface et un vernis révélant la couleur sont déposés sur la monture.
La laqueuse intervient alors avec son agilité de fée et dotée de sa seringue, elle va donner la touche finale au design de la monture. Ainsi, certaines branches vont avoir l’apparence de tresses grâce à deux teintes de marrons différentes ou encore les montures percées vont pouvoir être qualifiées de bicolores suite à l’application minutieuse de couleurs différentes.
Véritable spécificité française, le métier de rhabilleur est en majorité pratiqué par des hommes, en raison de leur capacité à maitriser la perception de l’espace. Le rhabilleur intervient en dernier dans la longue chaine des étapes de fabrication des montures. La monture a été longuement manipulée et les branches ne sont pas forcément adaptées au visage, afin que le consommateur bénéficie du meilleur confort. Le rhabilleur va redresser la lunette de manière à ce qu’elle soit géométrique et donc parfaitement conforme au visage.
Parce que la qualité est primordiale pour tout équipement optique, ATOL a choisi de privilégier le savoir-faire français, cher aux yeux des consommateurs. Depuis 2005 et la relocalisation de ses lignes de production, ATOL affirme sa volonté d’aller à contre-courant de la tendance générale du marché de l’optique qui vise à délocaliser. Ainsi, la nouvelle collection Ushuaïa d’ATOL est fabriquée dans le Jura, berceau bicentenaire de l’industrie lunetière en France.
En effet, d’après une étude IPSOS/ATOL réalisée en septembre 2006, plus de 60% des Français se disent prêts à acheter un équipement optique produit en France, même si les prix restent plus élevés. Les interviewés[1] déclarent être prêts à payer 17% plus cher une paire de lunettes fabriquée sur le territoire.
Fruit d’une démarche d’économie responsable et d’un savoir-faire français, la nouvelle collection Ushuaïa Optique saura séduire le plus grand nombre notamment grâce à des prix de vente qui la positionne à la moyenne du marché.
Recette de fabrication d’un produit 100% Français…
3 phases d’une recette aux ingrédients 100% français : la fabrication, le traitement de surface et la finition.
La fabrication
La fabrication de toutes les montures Ushuaïa fait appel à des technologies de pointe telles que la découpe chimique, le décolletage, la tribofinition ou encore le matriçage. En moyenne, ce ne sont pas moins de 40 opérations successives qui sont nécessaires pour la production d’une seule monture Ushuaïa.
Les montures percées sont réalisées dans un acier Inox de qualité chirurgicale, ce qui leur donne une légèreté exceptionnelle (4.6g).
Le nez et les tenons sont matricés donc sans soudure, ce qui réduit quasiment à néant le risque de casse. Un savoir faire qu’on ne trouve qu’en France. Disponibles à 149 euros (monochromes) et 159 € (bicolores)
Les montures métal, cerclées ou nylor, sont fabriquées par découpe chimique, permettant d’obtenir des rendus très qualitatifs. La tribofinition sert à supprimer tous les petits morceaux de métal qui resteraient encore afin d’obtenir pour un rendu « poli ». Disponibles à 149 euros
Le traitement de surface se déroule en trois temps
- Le traitement galvanique : un dépôt de métal par électrolyse permet de protéger la monture contre l’usure et la corrosion.
- Le vernis : appliqué par pulvérisation électrostatique, il contribue également à protéger la monture des agressions tout en lui donnant une esthétique agréable.
- La décoration : l’application de laque sur la face des tenons est un travail manuel et minutieux qui demande de l’agilité et de la patience. La laque donne à la monture une touche d’originalité qui fait la différence.
La finition
Une fois la monture décorée, cette dernière arrive au stade de la finition. Cette étape finale, réalisée exclusivement manuellement garantie une qualité optimale. Pour assurer une qualité maximale des lunettes Ushuaïa, les montures sont contrôlées, préparées et testées individuellement. Au total, plus de vingt opérations sont réalisées pour obtenir des produits irréprochables.
Focus sur deux métiers en voie de disparition : la laqueuse et le rhabilleur
En relocalisant ses lignes de production, ATOL dynamise la filière de l’optique en permettant à certains métiers de se maintenir.
Le métier de laqueuse qui allie intelligence manuelle et technologique, se conjugue parfaitement au féminin, puisque pratiqué principalement par des femmes. Précision, minutie, dextérité et expérience sont les qualités requises pour exercer ce métier manuel. L’outil principal utilisé par la laqueuse est
une seringue permettant d’appliquer la couleur avec une aiguille sur la surface des montures. L’étape du laquage fait partie du traitement de la surface juste avant la phase de finalisation. Avant l’application de couleurs, une couche de chrome noir pour la protection de la surface et un vernis révélant la couleur sont déposés sur la monture.
La laqueuse intervient alors avec son agilité de fée et dotée de sa seringue, elle va donner la touche finale au design de la monture. Ainsi, certaines branches vont avoir l’apparence de tresses grâce à deux teintes de marrons différentes ou encore les montures percées vont pouvoir être qualifiées de bicolores suite à l’application minutieuse de couleurs différentes.
Véritable spécificité française, le métier de rhabilleur est en majorité pratiqué par des hommes, en raison de leur capacité à maitriser la perception de l’espace. Le rhabilleur intervient en dernier dans la longue chaine des étapes de fabrication des montures. La monture a été longuement manipulée et les branches ne sont pas forcément adaptées au visage, afin que le consommateur bénéficie du meilleur confort. Le rhabilleur va redresser la lunette de manière à ce qu’elle soit géométrique et donc parfaitement conforme au visage.