Première présence à Franchise Expo Paris pour Des Lis Chocolat

Avec plus de 480 marques attendues à la Porte de Versailles du 25 au 28 mars, le salon Franchise Expo Paris va offrir ce qui se fait de mieux dans le secteur de la franchise. A noter que ce sont près de 140 enseignes qui vont venir exposer pour la première fois, à l’image de Des Lis Chocolat qui a retenu toute notre attention.

Bonbons d’autrefois, spécialités anciennes…, Des Lis Chocolat – qui compte 3 boutiques en activité à ce jour et 25 salariés - a l’art de dénicher de délicieuses recettes de nos terroirs qui ont des histoires à raconter et les réalise avec des matières premières d’exception issues principalement de producteurs locaux. En renouant avec ces traditions ancestrales tout en faisant preuve de créativité, l’entreprise signe sa particularité dans le monde de la Chocolaterie-Confiserie-Biscuiterie qu’elle a à coeur de transmettre et de partager avec ses franchisés de demain. « Des Lis Chocolat se lance dans l’aventure de la franchise. En tant qu’artisan, défenseur d’un terroir qui nous est cher et dont la qualité n’est plus à prouver, il était impensable de ne pas partager notre savoir-faire avec le plus grand nombre » explique Denis Jullemier, son Président.

Un réseau qui joue la carte de la tradition

Tout en se diversifiant, il continue aujourd’hui encore à conserver l’esprit, la simplicité et l’authenticité de la petite chocolaterie artisanale créée en 1985, et qu’il a rachetée en 2006. En reprenant les rênes de Des Lis Chocolat en 2006, Denis Jullemier a continué à tisser ce lien indéfectible entre les artisans passionnés et leur terroir. Il rachète les sucres d’orge de Moret-sur-Loing, l’un des plus vieux bonbons de France, mais également la recette traditionnelle des sablés briards, désormais vendus sous la marque Flore Cocardon. Le chocolat est le produit emblématique de Des Lis Chocolat, celui sans lequel la marque n’en serait pas là aujourd’hui. Avec lui, la tradition côtoie l’inédit, car outre le goût unique des chocolats classiques du fait d’une quantité de sucre utilisée inférieure à la normale, le chef chocolatier, Patrick Coudray, exerce sa créativité au quotidien.

Samuel Burner