Interview franchise LDLC
« Nos formations s’adressent non seulement à nos franchisés mais également aux vendeurs »
Olivier de la Clergerie, Directeur Général - le
Créé il y a 20 ans, LDLC porte les initiales de son fondateur Laurent de la Clergerie. C’est son frère Olivier, Directeur Général de l’enseigne, qui a accepté de répondre à nos questions à propos des ambitieuses volontés de développement de la marque de hi-tech. Interview
Rodolphe Hatchadourian : Comment l’aventure LDLC a-t-elle débuté ?
Olivier de la Clergerie : Au départ, il s’agissait d’un site Internet, l’un des pionniers du genre, puisqu’il a été mis en ligne dès 1997. Assez rapidement, une première boutique a ouvert ses portes pour faire face à la demande et au succès, dans la ville de Lyon. Elle a été suivie par une seconde unité à Paris puis une troisième à Villefranche-sur-Saône. C’est à partir de 2012 qu’une réelle volonté de s’ouvrir à la franchise s’est affichée, dans le but de créer un réseau de proximité et dès 2014, le premier franchisé exploitait son point de vente à Bourgoin-Jallieu, dans la périphérie de Lyon.
Comment définiriez-vous le concept de LDLC ?
Nous sommes des distributeurs spécialisés en hi-tech, informatique et appareils connectés et nous proposons 30 000 références dans toutes les gammes de prix et toutes les marques, y compris désormais notre propre ligne de MDD, à travers laquelle nous proposons des ordinateurs et des écrans estampillés LDLC. Nous nous distinguons de la concurrence en procurant à nos clients des conseils avisés et une qualité de service personnalisé qu’il serait impossible de trouver sur les boutiques 100% on line.
A quel rythme déployez-vous vos boutiques ?
Nous pouvons parler de rythme soutenu dans la mesure où nous comptons déjà 12 franchises en l’espace de deux ans, dans les villes de Bourgoin-Jallieu, Rouen, Grenoble, Saint-Etienne, Dijon, Avignon, Valence, Angoulême, Limoges, Toulouse, Montpellier et Nantes. Une liste à laquelle s'ajoutera sous peu une unité au Mans le 3 juin. Et d’ici la rentrée de septembre, 4 à 5 unités viendront compléter ces immplantations, pour finir l’année 2016 avec 10 points de vente supplémentaires au total. A long terme, nous comptons mailler le territoire français avec une centaine de boutiques d’ici 2021.
Faut-il être « accro » à la hi-tech pour vous rejoindre ?
Sans être « accro », il faut tout de même nourrir un certain intérêt pour le secteur, car il s’agit de vendre du matériel à des clients bien souvent passionnés. Nos franchisés sont avant tout de bons gestionnaires qui ont une réelle compréhension du concept LDLC et de ce qu’il recouvre.
Comment se déroule la formation ?
Elle dure un mois complet et couvre l’ensemble des aspects du métier, de la vente en boutique aux process internes (achats, produits…). Nos formations s’adressent non seulement à nos franchisés mais également aux vendeurs, sachant qu’une boutique fonctionne avec une moyenne de 3 à 4 personnes.
Qu’en est-il du canal web ?
Internet permet de capter de la clientèle supplémentaire, puisqu’il est possible de réserver un produit et de se le faire envoyer en point-relais ou bien de venir le chercher dans la boutique de son choix, où 1 500 références sont stockées (click and collect). Cela génère du chiffre d’affaires supplémentaire pour les franchisés et leur confère une plus grande notoriété.
Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian
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