Interview franchise L'Onglerie
"Chez L'Onglerie, de plus en plus de salariées deviennent franchisées"
Laurent Treuil - le
Poursuivant son développement au sein de l'Hexagone, le réseau l'Onglerie a ouvert trois nouveaux points de vente sur le premier semestre 2013. L'enseigne devrait poursuivre sur sa lancée dans les six prochains mois. Le point avec Laurent Treuil, Responsable développement du réseau L'Onglerie.
Mélanie Kessous : Quel bilan tirez-vous du premier semestre 2013 ?
Laurent Treuil : L’année 2013 a bien démarré avec trois nouveaux points de vente : Aix-en-Provence,
Saint-Martin-de-Ré et Toulouse Bonnefoy. Présents sur Toulouse avec deux unités dans les centres commerciaux de Blagnac et Saint-Orens, nous souhaitions nous implanter dans Toulouse intra-muros. Par ailleurs, nous avons observé une hausse des demandes d’informations sur la franchise L’Onglerie depuis le mois d’avril, signe plutôt prometteur pour le second semestre 2013 en vue de futures implantations.
Depuis le début de l’année, nous avons également participé aux rachats de cinq centres L’Onglerie : Mérignac, Plaisir, Strasbourg, St Raphaël et Talence.
Comment envisagez-vous la seconde partie de l’année ?
D’ores et déjà, trois projets sont bien avancés pour des ouvertures dans les mois prochains : Agen, Château-Gontier et Pau. En parallèle, certains centres L’Onglerie sont en cours de rachat par des salariées pour la seconde partie de l’année. Sur ce point précisément, nous constatons depuis environ deux ans une augmentation des rachats par les employées des franchisées. Nous voyons dans ce schéma de cession un réel intérêt, à savoir, une véritable adhésion au concept par les équipes en place dans les points de vente. Une accréditation qui concourt largement au renforcement de « l’esprit réseau ».
Quels sont les grands chantiers à venir pour votre enseigne ?
A moyen et long terme, les « grands travaux » de L’Onglerie portent principalement sur la défense de la marque, l’évolution du concept et de l’image, la reconnaissance du métier et du savoir-faire. La refonte des sites institutionnel et marchand est également à l’étude ainsi que l’évolution de la communication sur les réseaux sociaux.
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