La franchise "chocolat" une valeur anti-crise ? / Exemple de DE NEUVILLE
A 1 mois du salon "Top Franchise Méditerranée" (16/17 novembre, Marseille), auquel DE NEUVILLE participera, il convient de rappeler que la "franchise" reste un modèle économique porteur.
L’Observatoire de la Franchise avait dénombré en décembre 2008, pas moins de 49 000 franchisés, soit 3 000 de plus qu’en 2007.
La franchise reste pour les candidats un modèle idéal car leur permet d’être indépendant tout en minimisant les risques. Les banques se montrent en effet un peu moins réticentes à accompagner les candidats à la franchise car savent que le franchiseur sera là pour les accompagner dans leur réussite. Concernant De Neuville, le franchisé bénéficie d’une prise en charge personnalisée (formation de 4 semaines) mais aussi d’un accompagnement humain et publi promotionnel pour que son lancement soit réussi. Une équipe d’animation lui sera également dédiée pendant sa première année d’exploitation, le temps pour le franchisé de prendre ses marques.
Pourquoi la franchise « chocolat » est une valeur anti-crise ?
Le chocolat qui est assimilé à un aliment plaisir, à la fois pour les petits et les grands, a été peu touché par la crise.
L’exemple de Noël 2008 s’était révélé très révélateur car l’étude Deloitte avait démontré que si les Français étaient prêt à rogner leur budget cadeaux ils l’étaient beaucoup moins pour les dépenses alimentaires.
Les derniers chiffres du n°1 du marché du chocolat français en franchise peut également avancer un 1er bilan positif sur le développement de DE NEUVILLE en 2009.
En effet :
- 11 nouveaux magasins DE NEUVILLE ont été ouverts (ou sont en cours d'ouverture)
- 18 nouveaux commerçants franchisés auront été recrutés (avec la transmission de 7 affaires existantes, en plus des 11 ouvertures).
