« Nous souhaitons densifier notre présence en province, notamment dans des grandes villes comme Lyon ou Marseille »

Isabelle Smith : Nous mettons l'accent sur les grandes métropoles au sein desquelles nous souhaitons densifier le nombre de nos agences. Nous visons notamment les régions Bretagne et Normandie, afin de couvrir des villes comme Laval, Cherbourg. Côté Est, ce sont des villes comme Troyes ou Nancy qui nous intéressent. En Franche-Comté nous ciblons particulièrement Macon, Chalon-sur-Saône, Auxerre mais également Belfort. Parallèlement, nous entendons poursuivre notre croissance à Limoges, Lyon, Saint-Etienne et Grenoble, sans oublier Marseille. Enfin, dans le Nord de la France, Dunkerque ou Calais font partie de nos priorités.

Je dirais que nous n’avons pas de profil type car nous recherchons avant tout des individus dotés de grandes qualités humaines. En effet, les métiers de services à la personne nécessitent une grande empathie : il s'agit de se mettre au service des clients et de répondre à leurs demandes sans délai. Parmi les autres qualités que nous recherchons, je citerais les compétences commerciales et le management d'équipiers. Enfin pour parler chiffres, l’investissement global est de 90 000 euros et l'apport personnel va de 25 à 30 000 euros.

Nous leur proposons une formation de quatre semaines théoriques, puis d'une semaine sur le terrain, en immersion au sein d'une agence en activité. Nous sommes également très présents pour tout ce qui touche au discours commercial et fournissons une aide dans le processus de sélection des employés de maison. Point important, un responsable de région est présent à leurs côtés, que ce soit au démarrage au bien tout au long du contrat de franchise.

Je pense que tout réside dans la régularité, le travail et la proximité avec les clients. Les franchisés qui réussissent le mieux sont ceux qui font preuve d'empathie et qui savent souder leurs équipes, car l'asspect management constitue l'un des points incontournable du concept de Shiva.

                              Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian