Interview franchise 231 East Street
« Avec 231 East Street, j’ai fait le choix d’un franchiseur opérationnel qui connait le terrain »
Philippe Rivory - le
Franchisé lyonnais de l’enseigne 231 East Street depuis mars 2015, Philippe Rivory est un fervent partisan de la franchise. Après avoir été franchisé Intermarché pendant une quinzaine d’années, puis avoir monté sa propre structure d’investissement et de conseil, il a repris goût à la franchise après avoir réfléchi aux différentes opportunités de créer sa boîte, dans le segment de la restauration. Lors d’une visite à Franchise Expo Paris en mars 2014, il a été séduit par le concept 231 East Street, un concept avec lequel il a de grandes ambitions de développement dans la région lyonnaise. Entretien avec un « serial entrepreneur ».
Samuel Burner : Qu’est-ce qui vous attiré chez 231 East Street alors qu’il existe plus d’une dizaine de concepts de restauration rapide en France ?
Philippe Rivory : Je suis à mon compte depuis l’âge de 27 ans. Franchisé de la grande distribution pendant une quinzaine d’années, j’étais très impliqué au sein du groupement des Mousquetaires, en tant que franchisé Intermarché et Netto. En 2005, après avoir vendu mes affaires, j’ai monté ma propre structure d’investissement et de conseil dans le domaine du capital-risque. Suite à ces expériences, je me suis rendu compte que le bruit de la caisse enregistreuse me manquait !
J’avais alors 48 ans et je me suis mis à la recherche d’un concept sympa, qui me semblait à fort potentiel de développement. Un de mes autres critères était de pouvoir monter mon affaire à Lyon.
Justement, comment avez-vous découvert l’enseigne 231 East Street ? Comment se sont déroulés les premiers échanges avec les responsables de la marque ? Quel a été l’élément déclencheur dans votre décision ?
Depuis plusieurs années, je me rendais sur le salon Franchise Expo Paris, histoire de m’inspirer des tendances du secteur de la franchise. Même si je ne suis pas issu du secteur de la restauration rapide, ce segment m’attirait ! J’ai rencontré les dirigeants de 231 East Street en mars 2014 lors du salon Franchise Expo Paris. Les contacts ont été très bons. C’est d’ailleurs aussi ce que je recherchais.
Quelques semaines après, je me suis déplacé à Paris, pour visiter le restaurant de Saint Lazare et pour goûter les produits de la gamme. « On vend bien ce qu’on aime bien », ai-je coutume de dire.
J’ai signé mon contrat de franchise, moins de 3 mois après ma première rencontre avec les dirigeants de l’enseigne. Cela a été très vite car j’avais identifié ce marché émergent du « gourmet burger » sur lequel se positionne 231 East Street. J’ai rencontré d’autres acteurs du marché mais le discours très opérationnel des patrons de 231 East Street a fini de me convaincre.
Après savoir choisi votre enseigne, la recherche du local s’est-elle révélée compliquée ? Combien de temps cela vous a –t-il pris au total ?
Trouver mon local a été une vraie opportunité. Mon local du centre commercial Part-Dieu ne m’est pas venu en tête immédiatement mais je cherchais un flagship pour la marque à Lyon. Dès le départ avec 231 East Street, je me suis positionné dans une logique d’investisseur développeur, à savoir dans l’optique d’ouvrir plusieurs points de vente.
Les places étaient chères et j’ai mis 3 à 4 mois pour postuler à cet emplacement. Il faut savoir que la situation concurrentielle est très sévère dans ce centre commercial, avec la présence des 3 grands du burger que sont Mc Donald’s, Quick et Burger King !
En tant que franchisé quel est votre quotidien ? Avez-vous d’autres projets sous enseigne ?
J’ai ouvert mon restaurant le 19 mars 2015. Implanté sur une surface de 137 m² (avec 90 places assises à l’intérieur), cet établissement dispose également d’une belle terrasse avec 25 places assises. Ce projet a nécessité un investissement de 300 000 euros que j’ai autofinancé. Mais c’est un investissement « intelligent » car le matériel et les machines sont top niveau, notamment en termes de consommation de savoir-faire.
Jusqu’à peu, j’étais présent 6 jours sur 7 dans mon restaurant. J’avais besoin de m’approprier le concept le plus rapidement possible et d’être le plus proche de mes équipes. Sans parler de l’exemplarité du patron, il me semble important pour un patron (franchisé ou pas) de connaître l’ensemble des tâches, des besoins dans une unité de production. Pour cela, rien de mieux que la présence sur le terrain.
Désormais, j’ai pris juste un peu de recul. Cela me permet de regarder plus activement les opportunités concernant les emplacements à Lyon. Mais pas d’urgence. Je me suis donné au moins un an pour valider le premier restaurant et pour le moment tout se déroule comme prévu !
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