Interview franchise BOCO
« Boco devrait atteindre les 50 unités à fin 2020, en misant majoritairement sur la franchise »
Christophe Tanguy, Directeur général - le
L’aventure de Boco démarre en 2011, sous l’impulsion de Vincent et Simon Ferniot, deux frères passionnés de cuisine qui ont mis au point ce concept novateur de restauration. Dans un univers bistrot, Boco a eu l’idée de proposer des recettes spécifiques conçues par une dizaine de chefs étoilés Michelin et pâtissiers reconnus. Ancien lauréat de la Sandwich & Snack Académy, le concept a commencé à s’ouvrir à la franchise en 2014. Aujourd’hui à la tête de 13 points de vente (dont 10 en franchise), le réseau va accélérer son rythme d’ouvertures dès 2017.
Samuel Burner : Pouvez-vous nous rappeler les grandes étapes qui ont permis à Boco de se déployer un peu partout en France ?
Christophe Tanguy : Le premier restaurant BOCO a ouvert ses portes à Paris en 2011, rue Danièle Casanova, dans le quartier de l’Opéra. C’est notre restaurant pilote. Un an plus tard, Boco s’est installé à Bercy Village. Parmi les autres dates importantes, nous pouvons citer 2012 et 2013 avec le lancement de notre traiteur et notre arrivée dans certains TGV.
Aujourd’hui, nous comptons 13 points de vente en activité. Notre lancement en franchise remonte à 2014, avec l’inauguration de notre unité dans l’aéroport d’Orly Ouest, dans le cadre d’un partenariat signé avec Areas (ex Elior). Ce n’est qu’en 2016 que nous nous sommes vraiment ouverts à la franchise individuelle. Cette année-là, Boco s’est ainsi implanté à Reims en janvier, au Luxembourg en septembre, à Lyon en octobre et à Rouen en décembre. L’année 2017 a également très bien démarré, avec les inaugurations de Monaco et de Neuilly-sur-Seine.
La franchise est donc désormais au cœur de la stratégie de Boco. Quelles sont vos ambitions de développement à moyen terme ? Quelles sont les prochaines ouvertures à venir ?
Le concept Boco a beaucoup de potentiel devant lui. Idéalement, nous avons besoin d’installer nos points de vente dans des zones à forte concentration tertiaire, avec un ticket moyen qui avoisine les 15 euros. Les unités fonctionnent bien avec une clientèle du midi, qui veut manger assez rapidement tout en se faisant plaisir avec un plat élaboré par un chef ou par un pâtissier reconnu.
Nous avons beaucoup de demandes de candidatures. Le concept plait et est assez facile à mettre en œuvre, pour une personne qui souhaite se reconvertir. Pas besoin d’être issu de la restauration pour réussir chez Boco. Il faut bien entendu avoir l’esprit commerçant et le sens de la clientèle, mais c’est le propre de tout commerce. Une surface comprise entre 90 et 120 m² est suffisante pour exercer notre activité. Nous disposons de trois sites de production qui livrent Paris, la province et la proche Europe.
Les projets d’ouverture ne manquent pas. Boco va ainsi s’installer cet été à Angers, Bordeaux…puis les unités de Toulouse et Nice devraient suivre dans la foulée. D’une manière générale, nous ciblons en priorité les 15 plus grandes villes de France. Nous avons ainsi d’autres projets bien avancés à Lille, Montpellier, Metz, Rennes, Metz, Issy-les-Moulineaux.
Notre ambition est d’accélérer notre rythme d’ouverture avec comme objectif d’atteindre les 50 points de vente à la fin de l’année 2020 (en France et à l’international).
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