Shiva : témoignage de Jean-Luc Jouhannaud, multi franchisé dans les Yvelines
« Contrairement à l’idée que je m’en faisais moi-même, la franchise, telle que conçue par Shiva, permet tout à fait à un entrepreneur dans l’âme de s’épanouir et de donner libre cours à sa passion pour la création d’entreprise ! », c’est avec cette tirade passionnée que Jean-Luc Jouhannaud revient sur son expérience de franchisé au sein de l’enseigne spécialisée dans les services à la personne Shiva.
Ancien cadre dans plusieurs grands groupes internationaux, Jean-Luc Jouhannaud a touché du doigt l’entreprenariat il y a un peu plus de 20 ans lorsqu’il a été sollicité pour redresser un cabinet de recrutement en difficulté puis a réellement plongé dedans en reprenant la filiale française d’un groupe suédois de télécommunication.
Bien que ses expériences n’aient pas nécessairement rencontré le succès escompté et qu’il soit repassé par la case « salarié », Jean-Luc Jouhannaud l’avoue, il avait attrapé le virus !
« Redevenu salarié, je me suis vite rendu à l’évidence : je ne saurai me satisfaire de cette situation et c’est très rapidement que je me suis remis à chercher des projets de reprise ou de création d’entreprises », commente-t-il. « Ma préférence était en effet d’identifier un projet dans lequel j’aurai réellement la main sur le destin de ma structure. C’est pour cela que je ne me suis pas tout de suite orienté vers la franchise qui m’apparaissait comme une mécanique dans laquelle le franchisé est en quelque sorte soumis au franchiseur tout en prenant tous les risques. »
Son choix : le service à la personne avec Shiva
Après avoir étudié plusieurs dossiers, dont une dizaine déjà en rapport avec les services à la personne, sans donner suite, Jean-Luc Jouhannaud est informé que l’enseigne Shiva cherchait un repreneur pour son agence de Versailles. Malgré ses premières réticences, il décide de se renseigner plus avant et prend contact avec Charles Dauman, le président de Shiva.
« M’étant déjà renseigné sur le secteur des services à la personne, que j’avais clairement identifié comme un secteur d’avenir et de croissance, il n’a pas fallu longtemps à Shiva pour me convaincre que leur modèle de franchise laissait une part importante à l’initiative et à l’envie d’entreprendre de ses franchisés », explique Jean-Luc Jouhannaud. « Charles Dauman a su trouver les mots pour m’aider à surmonter mes réticences initiales et à considérer le projet dans sa globalité. »
Jean-Luc Jouhannaud décide alors de se lancer et de reprendre l’agence Shiva de Versailles en novembre 2011.
« L’accompagnement fourni par Shiva m’a très vite permis de mettre en place une organisation efficace », se réjouit-il. « Le plus compliqué est en fait de recruter les bons collaborateurs pour pouvoir répartir, de la façon la plus pertinente possible, les quatre missions majeures que sont la recherche de clients, la sélection des employés de maison, la planification des missions et le contrôle qualité. J’ai la chance d’avoir pu identifier des collaborateurs positifs et motivés qui ont rendu possible notre expansion. »
Très vite, il devient multi franchisé
Car loin de s’arrêter à la seule agence de Versailles, Jean-Luc Jouhannaud a très vite élargi son secteur autour de Versailles (en septembre 2012 soit moins d’un an après la reprise de Versailles) puis racheté une agence à Triel-sur-Seine… 2 mois plus tard, en novembre 2012.
« Il s’agissait d’opportunités discutées de façon très ouverte avec Shiva afin de valider la pertinence, la viabilité et la faisabilité des projets », explique-t-il. « Loin d’être un frein, le modèle franchise est à la fois un facilitateur et un accélérateur qui permettent de s’adosser à des compétences et de s’adjoindre une expertise quand le besoin s’en fait sentir. »
Ce père de famille de 57 ans est désormais à la tête de 4 agences et 150 employé(e)s de maison et pousse même l’exercice à l’extrême en ouvrant ses deux dernières agences (Poissy et Paris 9è) en même temps, en janvier 2015.
« Le fait de gérer plusieurs agences franchisés est à la fois un défi personnel et une manière de s’assurer que l’organisation mise en place est la bonne mais c’est surtout la possibilité de fournir des perspectives à mes collaborateurs et de les inscrire dans un projet dynamique et pérenne », commente Jean-Luc Jouhannaud.
« Et puis c’est également l’assurance définitive en ce qui me concerne de ne plus jamais associer franchise et manque d’esprit d’entreprise », conclut-il avec un sourire.