Rapid’Flore, la vocation des fleurs. Formaflore, les entrepreneurs de demain.
reconvertie est clair : devenir gérante d’un fleuriste traditionnel ou franchisé. C’est finalement Rapid’Flore qui par ses conditions financières d’adhésion et sa convivialité affichée détermine le choix de la future entrepreneuse.
Une année comme employée dumagasin Rapid’Flore de Tours et la voilà qui ouvre le sien trois jours seulement avant la fête desmères, à Joué-les-Tours, enmai 2001 : « Le dimanche soir j’ai
fermé sans plus une seule tige en boutique. Ouvrir autour d’une fête a boosté les ventes en offrant une publicité incomparable au magasin. »
Quelques mois plus tard Frank, son mari, salarié en tant que comptable dans une entreprise Touraine, décide de prendre une année sabbatique pour appréhender la collaboration professionnelle aux côtésde sa femme.Auboutd’unanil la rejointdéfinitivement.
La vie change alors et les cinq années qui suivent sont entièrement consacrées à leur entreprise florale. En novembre 2005, les époux reprennent comme deuxième magasin Rapid’Flore celui qui avait employé Laurence six ans plus tôt à Tours. Un bien beau parcours que celui de cette ancienne salariée devenue sa propre patronne précisant au passage que « reprendre un magasin est beaucoup plus complexe voire difficile qu’une création à part entière ! »
Aujourd’hui, le couple gère parfaitement ses deux magasins Rapid’Flore* malgré deux profils de clientèles bien différentes de l’un à l’autre : Joué-les-Tours est assez populaire avec quelque 37 000 habitants quand Tours, plus huppé, en comptabilise cent mille de plus. L’opportunité d’un troisième point de vente n’est d’ailleurs pas écartée par les heureux entrepreneurs dont l’épouse accompagnée d’une de ses responsables vient de suivre un stage de management, assuré par le centre de formation professionnelle des fleuristesmodernes Formaflore. Une initiative qui s’est avérée salutaire puisqu’elle a d’ores et déjà convaincu Laurence de former tout son personnel par la suite.