Franchise restauration : O’kebap analyse le marché du crédit
La franchise un argument de poids en période de ralentissement économique.
Effectivement, nous le savons sans le crédit aux entreprises et sans les participations bancaires, les projets ne pourraient être financés et c’est l’économie entière qui serait paralysée.
La franchise est un levier de développement formidable pour les entreprises et les réseaux qui recherchent à étendre leur champ d’actions et à amplifier leurs nombres de points de vente en vue de créer une synergie, des économies d’échelle et augmenter leur taille critiques.
Les banques ont un rôle crucial à jouer dans ce domaine puisqu’elles ont entre leurs mains la manivelle nécessaire pour actionner ce levier.
La franchise est un excellent exemple, la quasi-totalité des opérations et des montages qui ont lieu sont réalisés avec le concours de la banque afin de financer une partie du projet voir la totalité.
Mais depuis quelques temps et la crise récente favorisant, toute l’économie et toutes les entreprises ont assisté à un durcissement de l’offre de crédit et à une réticence des banques à prêter, à un tel point que le crédit au secteur privé a chuté à un point inédit et ne progresse que de 0.6% en juillet 2009. En comparaison, ce taux de croissance des prêts au secteur privé avait atteint fin 2007 un rythme de progression annuel de 11%.
Dans le secteur plus particulier des entreprises qui proposent un système lié à la franchise, le premier reflexe a été de relever tout d’abord le montant de l’apport nécessaire au projet et imposé aux futurs franchisés.
Mais les apporteurs de capitaux et en particulier les banques recherchent avant tout la garantie, et dans ce domaine les enseignes franchisées ont des arguments de poids qui pèsent largement en leur faveur et permettent d’apporter de sérieuses garanties en sortie de crise où comme c’est le cas actuellement lorsque la tendance économique montre une légère amélioration.
_Citons tout d’abord le recrutement du futur franchisé : celui-ci a été sélectionné au préalable, son profil a été étudié et le franchiseur à une solide expérience dans ce domaine et ce doit de choisir ses futurs franchisés avec soin et rigueur parmi la multitude de candidature reçu. Il a donc été choisi en fonction de ses capacités à entreprendre et gérer le projet, son sérieux, ses qualités managériales… La validation d’une candidature est un premier visa face à un banquier.
_ Citons ensuite le rôle joué par le franchiseur en amont du projet, dans la validation de l’emplacement et dans l’étude de marché réalisé pour son franchisé. Le franchiseur est le véritable professionnel. Et qui mieux que lui peut orienter le franchisé de la meilleure manière possible dans ces recherches préliminaires ?
_ Citons aussi que le franchiseur dispose d’un réel savoir-faire et d’un concept testé et validé par le marché. Le rôle du franchisé consiste à répliquer un modèle qui à déjà fais ses preuves et à réussi ailleurs.
_ Citons bien entendu l’apport personnel du franchisé, qui sera un gage supplémentaire.
On ne connaît jamais avec certitude les dates de sortie de crise, car ses effets négatifs continus à s’en ressentir encore bien après. Mais s’il y a une chose dont nous sommes sûr, c’est que la franchise offre des arguments solides face une offre de crédit resserré pendant ces périodes.
Les entreprises sous enseigne franchisante seront toujours parmi les premières à bénéficier de la reprise économique.
Communiqué fourni par l'enseigne.