Sandwich Market : témoignage d\'un franchisé, quelques mois après l\'ouverture d\'un point de vente aux Ulis (91)
Alors, Benoît PORCHER, deux mois après votre « lever de rideau », quelle est votre impression générale ?
« C’est un vrai métier. J’étais du soir, je suis devenu des deux… Car ma boutique d’un genre nouveau, puisque située en zone d’activité alors que les magasins « pilotes » étaient, eux, en centre-ville, a demandé quelques adaptations et donc du travail »
Quelles ont été ces adaptations ?
« Certainement plus de communication. Les clients ne passent pas, pour la plupart, « à pieds », il faut donc les inciter à venir spécifiquement ou à commander et, là aussi, il nous a fallu adapter nos outils (informatique ou autres) à la livraison qui se doit d’être réellement EXPRESS »
Comment vous y prenez-vous ?
« Je ne suis pas seul puisque mon franchiseur nous a beaucoup aidé dans l’élaboration des documents et des stratégies de communication. Il est vrai que l’accent très fort mis, notamment, sur la communication de façade dès le départ, selon la volonté des responsables de l’enseigne, nous a permis de démarrer avec un niveau de fréquentation très convenable pour une période hivernale, puisque depuis le début, nous réalisons un CA correspondant à environ 70 % de notre « point mort ». Néanmoins, ce sont des opérations de mailing qui feront venir encore plus de clients pour atteindre notre seuil de rentabilité, les moyens mis en oeuvre en complément des opérations de mailing étant : · un accueil personnalisé que je réalise moi-même afin d’expliquer notre concept, · une qualité des produits en vente plus qu’irréprochable, ce qui sera au final le plus fort élément de fidélisation, · des offres découvertes qui incitent à venir ou à se faire livrer ; l’adage « l’essayer c’est l’adopter » étant on ne peut mieux porté par notre enseigne, · une qualité qui devra aussi se retrouver à tous les stades pour les clients demandant à être livrés, en étant prompts en prises de commandes et rapides en livraisons, ces dernières devant être à 100% conformes aux souhaits de nos clients.
Et si c’était à refaire ?
Je n’hésiterais pas une seconde, à tel point que je vais récidiver puisque l’ouverture d’une deuxième boutique suivie, pourquoi pas, d’une troisième est dans mes objectifs à court terme.
« C’est un vrai métier. J’étais du soir, je suis devenu des deux… Car ma boutique d’un genre nouveau, puisque située en zone d’activité alors que les magasins « pilotes » étaient, eux, en centre-ville, a demandé quelques adaptations et donc du travail »
Quelles ont été ces adaptations ?
« Certainement plus de communication. Les clients ne passent pas, pour la plupart, « à pieds », il faut donc les inciter à venir spécifiquement ou à commander et, là aussi, il nous a fallu adapter nos outils (informatique ou autres) à la livraison qui se doit d’être réellement EXPRESS »
Comment vous y prenez-vous ?
« Je ne suis pas seul puisque mon franchiseur nous a beaucoup aidé dans l’élaboration des documents et des stratégies de communication. Il est vrai que l’accent très fort mis, notamment, sur la communication de façade dès le départ, selon la volonté des responsables de l’enseigne, nous a permis de démarrer avec un niveau de fréquentation très convenable pour une période hivernale, puisque depuis le début, nous réalisons un CA correspondant à environ 70 % de notre « point mort ». Néanmoins, ce sont des opérations de mailing qui feront venir encore plus de clients pour atteindre notre seuil de rentabilité, les moyens mis en oeuvre en complément des opérations de mailing étant : · un accueil personnalisé que je réalise moi-même afin d’expliquer notre concept, · une qualité des produits en vente plus qu’irréprochable, ce qui sera au final le plus fort élément de fidélisation, · des offres découvertes qui incitent à venir ou à se faire livrer ; l’adage « l’essayer c’est l’adopter » étant on ne peut mieux porté par notre enseigne, · une qualité qui devra aussi se retrouver à tous les stades pour les clients demandant à être livrés, en étant prompts en prises de commandes et rapides en livraisons, ces dernières devant être à 100% conformes aux souhaits de nos clients.
Et si c’était à refaire ?
Je n’hésiterais pas une seconde, à tel point que je vais récidiver puisque l’ouverture d’une deuxième boutique suivie, pourquoi pas, d’une troisième est dans mes objectifs à court terme.
Rédacteur
Patrick Rucart
Patrick Rucart est rédacteur pour le site Observatoire de la Franchise depuis 8 ans. Avec une solide expérience dans le domaine de la franchise et de l'entrepreneuriat, il suit de près les tendances du marché et les stratégies des réseaux. Son expertise lui permet de donner des conseils pratiques aux futurs franchisés et d'analyser les évolutions du secteur. Grâce à son regard averti, Patrick aide les entrepreneurs à mieux comprendre les enjeux et les opportunités de la franchise, avec des informations claires et fiables.
